Le contact avec un chien suscite très vite un sentiment de bien-être, avec une réduction de la sensation de stress et une série d’autres bienfaits psychologiques. Des « interventions canines » pourraient être mises en place dans bien des situations.

Avez-vous entendu parler du Resting Bitch Face, ou RBF ? Ceci signifie littéralement « tronche de peste » : on l’utilise pour décrire un air blasé, méprisant ou agacé, sans pour autant que la personne soit de mauvaise humeur. Cette « grimace » qui donne un air hostile ou en colère même quand on est détendu apparaît principalement chez les femmes plus âgées.

La pleine conscience (mindfulness) a le vent en poupe, et ses bienfaits sont vantés un peu partout. Pourtant, elle ne serait pas dénuée de pièges. Ainsi, elle pourrait rendre certaines personnes plus individualistes, plus égocentriques, plus égoïstes. Mais ce risque peut être réduit de manière relativement simple.

Le cri est un mécanisme partagé par de très nombreuses espèces animales, incluant évidemment l’être humain. Mais contrairement à bien d’autres animaux, nos cris n’ont pas qu’un caractère négatif. Et curieusement, nous sommes plus réactifs en entendant des cris « positifs ».

Les personnes timides ont tendance à ressentir une forte anxiété après avoir consommé une quantité élevée d’alcool. En plus, elles sont tentées de boire pour apaiser cette anxiété. Un cercle vicieux se dessine.

La Terre est riche d’une myriade de populations et de cultures extraordinairement diverses. Nous partageons néanmoins des points communs fondamentaux : il en va ainsi des expressions du visage.

Les échanges virulents sur les réseaux sociaux, notamment Facebook, affectent les hommes comme les femmes. Toutefois, les conséquences semblent différentes selon les sexes, en particulier lorsqu’il s’agit de discrimination.

La musique est une source de plaisir. Mais que se passe-t-il dans le cerveau quand nous écoutons ces morceaux qui suscitent tant d’émotions, jusqu’aux frissons ?

La peur n’est pas une sensation agréable… sauf lorsqu’elle relève du loisir. Beaucoup d’entre nous aiment se faire peur en regardant un film ou en participant à une attraction ludique. Comment expliquer cela ?

La qualité du sommeil influence notre capacité à gérer nos émotions durant la journée. Il en va ainsi de la colère, qu’un mauvais sommeil, en particulier de trop courte durée, risque d’amplifier.

Le confinement imposé par la pandémie de Covid-19 a engendré des répercussions mentales sérieuses chez une proportion importante de la population, en particulier les groupes vulnérables.

La régulation de l'humeur constitue un paramètre fondamental de notre équilibre psychologique. En cas de dépression, cette capacité est fortement compromise, ce qui renforce encore davantage le syndrome dépressif.

La misophonie, ou « haine du son », est un trouble assez fréquent et pourtant peu diagnostiqué. Le problème s’expliquerait par une sur-activation de certaines régions du cerveau.

Une défaite à domicile de leur équipe préférée pourrait considérablement augmenter le risque cardiaque parmi les supporters.

La diffusion d’un parfum modifie l’état d’esprit des clients d’un magasin et les rend moins anxieux.

Peur, colère, joie : ces émotions sont transmises par les expressions du visage. Or, en fonction de l’âge, nous ne les percevons pas de la même manière.

Le blues du dimanche soir, appelé aussi le cafard de fin de week-end, est une forme de mal-être qui se manifeste à la pensée de devoir reprendre le chemin du travail ou de l’école le lendemain. Comment en venir à bout ? Voici nos conseils.

C’est paradoxal, mais lors d’un coup de blues, ou d’une vraie déprime, beaucoup d’entre nous écoutent de la musique triste plutôt que joyeuse. En fait, cela contribue à remonter le moral.

« Une journée sans rire est une journée perdue », dit l’adage. Le rire met en jeu diverses fonctions musculaires, respiratoires, nerveuses et psychiques. Il est très bénéfique pour notre santé.

La haine de soi est impliquée dans un éventail de troubles mentaux, dont la dépression, ainsi que dans l’émergence de la pensée suicidaire. Sept questions permettent d’évaluer son degré d’auto-détestation.

Certaines mélodies inspirent un sentiment de puissance qui peut contribuer à améliorer la réalisation d’une série de tâches.

Les phéromones contenues dans la sueur transmettent-elles des signaux émotionnels, comme la joie, la peur, le plaisir et le bonheur ? C’est bien possible.

Question étonnante : l’insécurité économique et financière peut-elle se traduire par de réelles douleurs physiques ? Il semble bien que ce soit le cas.

L’ennui est considéré comme une émotion négative : pourtant, le fait de s’ennuyer pourrait améliorer la créativité, pour autant qu’on se place dans des conditions favorables.

On parle de relation on - off : les partenaires se séparent, se remettent ensemble, se séparent à nouveau, et ainsi de suite. Cette situation peut engendrer une grande détresse.

Au fur et à mesure que les années passent, la relation au sein du couple tend vers des comportements marqués par les émotions positives.

L’art pour favoriser le bien-être physique et mental ? Les médecins québécois peuvent prescrire des visites au musée à leurs patients, et pas seulement en cas de problème de santé mentale. Chacun devrait s'en inspirer.