Les médicaments du système nerveux central agissent principalement sur le cerveau. Ils sont utilisés dans une grande variété d'indications : dépression, anxiété, épilepsie, schizophrénie, douleur...
Quand la douleur devient trop forte, un analgésique ou antalgique peut apporter le soulagement nécessaire. Mais comment s'y retrouver dans tout cet arsenal de médicaments antidouleurs ? Il est particulièrement important que vous choisissiez un analgésique adapté à vos symptômes.
La douleur neuropathique (aussi appelée douleur neurogène) est secondaire à une atteinte du système nerveux (central ou périphérique), c’est-à-dire touchant le cerveau, la moelle épinière ou les nerfs. Causes, symptômes, traitement.
Le paracétamol est largement utilisé par les femmes enceintes pour lutter contre la douleur et la fièvre. Attention toutefois : il est nécessaire de faire preuve de prudence, et idéalement, de toujours demander au préalable l’avis d’un médecin.
La transpiration est nécessaire pour réguler la température de votre corps. Mais si vous vous réveillez régulièrement avec des draps trempés, vous souffrez de sueurs nocturnes dont les causes peuvent être multiples.
En tant que telle, la caféine a une action reconnue contre la douleur. Ce que l’on sait moins, c’est qu’elle augmente l’effet antalgique des médicaments antidouleur.
L’arrêt des médicaments antidépresseurs ne doit jamais se faire du jour au lendemain. Il est nécessaire de stopper le traitement progressivement afin de limiter le risque de syndrome de sevrage.
En cas de douleur lombaire, d’arthrose du genou (gonarthrose) ou de la hanche (coxarthrose), les analgésiques opioïdes (dont la morphine) font-ils mieux que le paracétamol ?
Les médicaments pris par une femme qui allaite sont présents dans son lait. C’est donc aussi le cas des antidouleurs. Comment limiter autant que possible les risques pour l’enfant ?
Il est fort possible qu'à l'avenir, la mesure de la fréquence cardiaque contribue au diagnostic et au suivi d'un patient souffrant de dépression, en particulier pour évaluer l'efficacité du traitement.
On sait que les analgésiques forts (opioïdes) peuvent engendrer une dépendance, avec des risques considérables pour la santé. Deux études récentes suggèrent que leur consommation pourrait être associée au surpoids et à l'obésité.
Le tramadol est classé dans la catégorie des opioïdes faibles. Mais cela ne doit pas donner un faux sentiment de sécurité : il peut exposer à des risques graves.
Certaines classes de médicaments antidépresseurs exposent à des troubles sexuels : ces effets secondaires peuvent persister pendant une longue période après l’arrêt du traitement.
Le mal de gorge d’origine infectieuse, en cas d’angine et de pharyngite en particulier, peut être soulagé par un antidouleur. Lequel choisir en priorité ?
L’arrêt d’un traitement par médicament antidépresseur doit toujours se faire progressivement, et il faut prendre son temps : stopper brutalement expose à des symptômes de sevrage sévères.
En cas de mal de dos aigu, sans irradiation dans le nerf (radiculalgie : sciatique ou cruralgie), les médicaments antidouleurs présentent un effet limité. Quels sont les choix prioritaires ?
Un des serpents les plus venimeux au monde est manié avec beaucoup de précaution par ces chercheurs de l’Institut de pharmacologie moléculaire et cellulaire de Sophia Antipolis près de Nice. L'étude de son venin leur a permis de découvrir deux molécules, baptisées Mambalgine 1 et 2, qui seraient des antidouleurs aussi puissants que la morphine, mais sans effets secondaires.
Plusieurs associations belges de spécialistes de la douleur estiment que les preuves de l'efficacité du cannabis médical contre la douleur sont insuffisantes, et elles soulignent le risque d'effets indésirables.
Le paracétamol, le médicament le plus utilisé contre la douleur et la fièvre, expose à des risques graves en cas de surdosage ou de consommation concomitante d’alcool. Or, ces effets indésirables sont méconnus par beaucoup d’entre nous.
L’administration abusive d’antidouleurs opioïdes après une intervention chirurgicale peut conduire à une dépendance à long terme, avec des conséquences catastrophiques.
Pendant la grossesse (et la période d'allaitement), vous devez éviter autant que possible de prendre des analgésiques. Mais s'ils s'avèrent réellement nécessaires, quel médicament choisir pour soulager la douleur ?
De nombreuses femmes sous pilule contraceptive souffrent de migraine lorsqu’elles suspendent les prises. Que doivent-elles faire pour éviter ce mal de tête ?
L’efficacité des médicaments contre la dépression soulève de nombreuses questions, sachant qu’une proportion importante des patients dépressifs n’y répond pas. Que peut-on dire à ce stade ?
Les patients souffrant de douleurs dentaires constituent un groupe à risque important d’intoxication accidentelle au paracétamol, avec des conséquences pour le foie qui peuvent être gravissimes.
Selon l’OMS, 4 à 10 % d’entre nous seront un jour confrontés à la dépression. Pour faire face à cette maladie, deux traitements sont possibles : le suivi d’une psychothérapie et/ou la prescription d’un antidépresseur. Selon la ministre de la Santé publique, Maggie De Block, les médecins généralistes ont tendance à prescrire trop d’antidépresseurs. Mais qu’en pensent les spécialistes ?
Utilisé aux doses recommandées, le paracétamol est un antidouleur de choix. Mais le surdosage menace : chaque année, il cause la mort de nombreuses personnes.