L’activité physique progressive et la thérapie cognitivo-comportementale, associées à un suivi médical, s’inscrivent comme les recours les plus efficaces pour lutter contre le syndrome de fatigue chronique.

De nombreuses personnes parlent en dormant. Elles n'en gardent aucun souvenir et si ces propos sont souvent dénués de ce sens, ce n'est pas toujours le cas. Comment expliquer ce phénomène et peut-on y remédier ?

Il n’y a pas photo : entre une « vieille » literie et un matelas récent, la qualité du sommeil s’en ressent. Une étude française indique qu’un changement périodique est utile.

Le bruit de la circulation automobile augmenterait sensiblement le risque d’accident vasculaire cérébral (AVC).

« Hypertendus, dormez-vous bien ? » C’est la question posée dans le cadre d’une vaste campagne de sensibilisation mise sur pied par le Comité français de lutte contre l’hypertension artérielle.

L’infarctus du myocarde n’aurait pas que des conséquences néfastes pour le muscle cardiaque, mais abîmerait aussi le cerveau, affirme une équipe du Centre de recherche de l’hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, dans un article publié par la revue médicale « SLEEP ».

Les enfants n'ont, tout comme les adultes, pas tous besoin du même laps de temps de sommeil et ce besoin diminue avec l'âge.

La caféine, que l’on trouve en quantités importantes dans les canettes de soda, nuit sévèrement à la qualité du sommeil des enfants, nombreux à en consommer.

Une activité physique régulière en fin d'après-midi ou en début de soirée engendrerait une diminution du stress et améliorerait la qualité du sommeil. C'est ce qu'il ressort d'une analyse réalisée par l'Association belge de l'étude du sommeil et de la médecine du sommeil.

Dormir dans l’obscurité totale est fondamental, non seulement pour la qualité du sommeil, mais aussi pour la… santé mentale !

Un régime amaigrissant efficace ne repose pas seulement sur la réduction de l’apport calorique et la pratique régulière d’une activité physique, mais également sur une… bonne nuit de sommeil !

Génétique, alimentation déséquilibrée, sédentarité : ces facteurs de risque d’obésité de l’enfant et de l’adolescent (comme de l’adulte d’ailleurs) sont bien connus.