La prévention de l’obésité et la lutte contre le surpoids passent par un régime alimentaire équilibré. Mais le moment où l’on mange joue aussi un rôle important.
Une perte (même modérée) de masse grasse permet d’atténuer notablement deux manifestations majeures de la ménopause : les bouffées de chaleur et les sueurs nocturnes.
Après un régime amaigrissant, maintenir son poids constitue un véritable défi, qui se solde très souvent par un échec. Et si la solution résidait dans le gras ?
Le poisson est excellent pour la santé. Mais la pollution de l'eau (en particulier de mer) constitue un réel problème. Comment équilibrer la balance risques-bénéfices ?
Un régime riche en graisse et en sucre permet à notre « second cerveau », qui contrôle le tube digestif, de conserver sa jeunesse. Et ce n’est pas bon pour le poids !
Un certain type d’oméga-3 est nécessaire à la maturation du spermatozoïde. Le poisson, et en particulier le saumon et le thon, en est particulièrement riche.
Une sixième saveur primaire a été identifiée chez l’être humain : le goût du gras. Les implications de cette découverte pourraient être déterminantes dans la lutte contre l’obésité.
Le chocolat est riche en lipides et comme tout aliment gras, il entraîne une digestion plus lente et plus difficile. Il restera comme on dit communément "sur l'estomac".
Lorsqu’elles envisagent une grossesse, les femmes en excès de poids doivent accorder une attention particulière aux risques de carences nutritionnelles.
Une alimentation riche – mais équilibrée – en oméga 3 présente des bienfaits manifestes pour la santé cardiovasculaire, confirme une étude danoise qui s’est particulièrement intéressée aux femmes.