Instinctivement, les couleurs rouge et verte nous apparaissent comme des indicateurs importants de la valeur énergétique d’un aliment : plus élevée ou plus faible.
D’une manière générale, on considère que les femmes ont une bien meilleure mémoire que les hommes, mais que la situation s'équilibre avec l’âge qui avance. Qu’en est-il ?
Les personnes dont la mémoire est altérée en raison d’un processus neurodégénératif, comme la maladie d’Alzheimer, maintiennent néanmoins plus longtemps la perception et la compréhension des informations liées à l’alimentation.
Les acouphènes concernent environ 10% de la population. La cause de ces bourdonnements, sifflements, tintements..., dans l’oreille n’est pas connue, mais l’aspect psychologique doit retenir l’attention.
Plusieurs expériences démontrent que les choix moraux varient, et parfois considérablement, selon qu’ils sont posés dans la langue maternelle ou dans une langue apprise.
La douleur et l’invalidité en cas d’arthrose sont très variables d’une personne à l’autre, alors que la sévérité de la maladie est similaire. L’élément psychologique est important, notamment dans l’atteinte du genou (gonarthrose).
La dépendance à la nicotine – l’état de manque - est une évidence chez le fumeur, mais cette addiction est-elle physique ou la part psychologique joue-t-elle un rôle déterminant ?
Après une tâche exigeante, le cerveau demande à s’alimenter et le corps cherche à consommer des calories. Pour contrer ce processus, un peu d’exercice physique paraît s’avérer très efficace.
Quel que soit l’âge, le sommeil joue un rôle majeur dans le processus de mémorisation. Chez l’enfant, la sieste consolide rapidement et efficacement l’apprentissage.
Pour le bien-être, est-il préférable de partir en vacances ou de suivre des séances de méditation ? Les deux sans doute, mais la comparaison entre les effets respectifs ne manque pas d’intérêt.
La maladie de Crohn affecte le système digestif, et en particulier le côlon. Mais l’inflammation semble aussi perturber certaines capacités cérébrales.
On sait que le sommeil est un élément important du processus de mémorisation : bien dormir entre deux séances d’apprentissage ajoute encore à son efficacité.
Beaucoup connaissent l’effet placebo (du latin « je plairai ») : une substance sans principe actif engendre une amélioration de l'état de santé par un effet psychologique. L’effet nocebo (du latin « je nuirai »), c'est tout simplement le mécanisme contraire. Explications.
Si les recommandations prônent une activité physique régulière et continue dans le temps, cela n’est pas le fait du hasard : ainsi, arrêter trop longtemps n’est pas idéal pour le cerveau.
Pour tenter d’effacer intentionnellement un souvenir, notre cerveau doit déployer beaucoup plus d’énergie que pour s’en rappeler, ou en cas d’oubli involontaire.
Des chercheurs français avancent dans le développement d’un traitement destiné à améliorer les capacités cognitives des personnes présentant un syndrome de Down : la molécule prometteuse se trouve dans le thé vert.
La coprophagie est banale chez de nombreux animaux, mais exceptionnelle chez l’être humain : pourquoi ces personnes mangent-elles leurs matières fécales ?
Beaucoup pensent que le fait de « mitrailler » avec son appareil photo nuit au vécu immédiat, à l’intensité de l’expérience « en direct », notamment lors d'un voyage. Ce ne serait pas vraiment le cas.
Avec l’âge qui avance, la mémoire devient moins efficace. Ceci pourrait s’expliquer en partie par une plus grande difficulté à sélectionner d’emblée les informations les plus judicieuses.