A moyen et à long terme, le diabète de type 2 (DT2) expose à des complications potentiellement très sévères, notamment sur le plan cardiovasculaire. Pour limiter les risques, il est essentiel d’entreprendre très tôt un contrôle énergique de la glycémie.
Une consommation abondante et quotidienne de fruits et de légumes exerce un effet protecteur majeur contre le risque de développer un diabète de type 2 (DT2). Une confirmation, et un rappel qui n'est certainement pas inutile.
Les injections d’insuline sur une longue période peuvent provoquer ce qu’on appelle une lipohypertrophie (ou « lipo »), aux conséquences potentiellement sévères, dont des hypoglycémies plus fréquentes. Comment prévenir ou corriger la situation ?
Le ronflement doit-il être considéré comme un indicateur du risque de développer un diabète de type 2 ? Il est trop tôt pour l’affirmer, mais certaines données tendent à le suggérer.
L’ajout de sardines dans son alimentation contribuerait à réduire le risque de développer un diabète, et peut-être à ralentir sa progression. Attention : ce poisson seul ne suffit pas, il doit intégrer une alimentation saine.
La glycémie (le taux de sucre dans le sang) est l’indicateur clé du diabète, et dès lors du risque cardiovasculaire. Il est très important d’en surveiller l’évolution entre 40 et 50 ans.
Le prédiabète est le stade qui précède le diabète de type 2 (DT2). Six formes viennent d’être identifiées, ce qui marque une étape importante pour affiner et personnaliser le traitement, et ainsi limiter le risque d’évolution vers le diabète.
Sur le plan à la fois de la prévention et du traitement du diabète, l’exercice physique joue un rôle clé. Chaque augmentation de l’intensité et de la durée de l’activité est bénéfique.
Des études ont suggéré que certains médicaments contre le diabète (antidiabétiques) pouvaient avoir un effet positif spécifique contre le risque de dépression. Il en va ainsi de la metformine. Qu’en est-il ?
L’association est étonnante : lorsqu’un chien développe un diabète, le risque qu’il en soit ainsi aussi chez son maître augmente sensiblement. Ce n’est pas le cas avec le chat. Comment expliquer cela ?
Le taux de vitamine D a été associé au risque de développer un diabète de type 2 (DT2). Mais un autre paramètre important doit être pris en compte : la qualité du sommeil.
En cas de Covid-19, le diabète augmente sensiblement le risque de développer des complications graves. Tous les diabétiques ne sont cependant pas exposés de la même manière : certains facteurs renforcent la menace.
La consommation élevée de riz blanc peut-elle être considérée comme un facteur de risque nutritionnel de développer un diabète ? Des indicateurs en Asie le laissent craindre. Qu’en est-il ?
La polyarthrite rhumatoïde expose à un risque spécifique de développement d’un diabète. Les deux maladies semblent partager une voie commune : l’inflammation.
Qu’on se place sur le plan de la prévention ou du traitement, le poids fait toute la différence face au diabète. Il est particulièrement important de maîtriser son indice de masse corporelle (IMC).
Parmi les facteurs de risque de diabète, la faiblesse musculaire pourrait intervenir comme un élément important. Et dans ce contexte, la force de la poignée de main serait un bon indice.
Les patients diabétiques s’exposent à un risque nettement accru de développer une insuffisance cardiaque. Face à la menace de cette complication, un suivi étroit est indispensable, pour ne pas dire vital.
En termes de prévention et de contrôle du diabète, on évoque souvent l’alimentation, l’exercice, le poids…, mais relativement peu le stress. Or, il pourrait jouer un rôle important.
De plus en plus de recherches indiquent qu’il est possible d’inverser le diabète (DT2) en mangeant plus sainement, en pratiquant plus d'exercice et en perdant du poids. Il serait crucial d'intervenir de manière drastique le plus tôt possible après le diagnostic et l'âge des patients jouerait également un rôle important.
Fruits, légumes et grains entiers : ces trois priorités alimentaires contribuent à réduire sensiblement le risque de développer un diabète de type 2 (DT2). Le fait d’augmenter un peu les apports exerce déjà de réels bienfaits.
Le syndrome métabolique, notamment caractérisé par une obésité abdominale, est associé à une augmentation du risque de développer certains types de cancer : celui de la vessie vient s’ajouter à la liste.
Médicament largement utilisé, et de longue date, dans le traitement du diabète, le mode d’action de la metformine recèle encore des inconnues. Une nouvelle pièce est ajoutée au dossier : sa contribution à l’élimination du sucre.
Les bénéfices de l’allaitement au sein sont nombreux, tant pour la maman que pour l’enfant. Chez la femme, un effet très positif est observé sur le plan métabolique, et en particulier contre le diabète.
Le diabète de type 2 (DT2) peut provoquer une atteinte directe du coeur, conduisant à l’insuffisance cardiaque, et ceci sans que d’autres facteurs de risque contribuent à ce processus.
Le surpoids et l’obésité sont identifiés comme des facteurs majeurs de risque de diabète. Les années durant lesquelles on a présenté cet excès de poids interviennent de manière déterminante.
On sait qu’en cas de poids trop élevé, le fait de maigrir diminue considérablement le risque de diabète. Il s’avère qu'il en va ainsi aussi quand l’indice masse corporelle (IMC) est satisfaisant.