L’administration d’un cocktail de « bonnes » bactéries pourrait agir de manière très favorable contre la dépression. Comment fonctionnent ces psychobiotiques ?

On connaît bien la flore bactérienne intestinale, on sait beaucoup moins qu’il existe un microbiote urinaire, et que les bactéries jouent un rôle important.

En Belgique, les infections à pneumocoque provoquent près de 6000 hospitalisations et 450 décès chaque hiver, alors que la grippe cause encore plus de victimes. Une grande majorité de ces cas pourraient être évités grâce à la vaccination, encore plus indispensable pendant cette pandémie de Covid-19.

Une association a été mise en évidence entre la composition du microbiote intestinal (flore intestinale) et l’apparition des plaques amyloïdes dans le cerveau, annonciatrices de la maladie d’Alzheimer.

Les éponges de cuisine usagées contiennent une quantité astronomique de bactéries, dont certaines pourraient causer des maladies. La solution ? En changer plus souvent.

Des scientifiques ont extrait des profondeurs des océans des bactéries « endormies » depuis 100 millions d’années. Le record précédent était de 15 millions d’années. Comment ont-elles survécu ?

La langue abrite une quantité colossale de bactéries, qui se répartissent d’une manière très structurée. Une carte en couleurs rend compte de cette organisation.

Plusieurs cas d’amputation et de décès ont été rapportés suite à une morsure ou au léchage par un chien (surtout) ou un chat. En cause : Capnocytophaga canimorsus, une bactérie peuplant la gueule des animaux de compagnie.

Avec l’appui d’un extrait de canneberge (cranberry), l’efficacité des antibiotiques est renforcée : ils parviennent à mieux combattre les bactéries.

On croit à tort qu’il suffit de changer et de laver régulièrement les taies d’oreiller pour que les microbes et les saletés désertent la tête de lit. Or, l'oreiller lui-même doit faire l'objet d'une réelle attention.

Beaucoup la considèrent comme purement fantaisiste : pourtant, la règle des cinq secondes, le délai maximal pour pouvoir encore manger sans risque un aliment tombé à terre, reposerait sur un fond de vérité.

Tout le monde connaît la nécessité de se laver soigneusement les mains, en particulier après avoir été aux toilettes. Ce que l'on sait moins, c’est que le séchage des mains est tout aussi important que leur lavage. Mais quelle est la meilleure méthode ? Le papier, le séchoir électrique ou la serviette en tissu ?

Voici une série de conseils pour que le nettoyage du réfrigérateur permette vraiment d'éliminer les microbes, source possible de contamination des aliments. Quels produits pour le frigo et comment bien les utiliser ?

Après une absence de plus d'une semaine, il est nécessaire de laisser couler l'eau des robinets d'eau froide et d'eau chaude durant au moins une minute et à grand jet. Il existe en effet un risque que des bactéries dangereuses se soient multipliées dans la tuyauterie.

La grippe, le rhume, la grippe intestinale… Toutes ces maladies virales sont en quelque sorte « en promotion » en cette période de l’année. La circulation des virus tourne à plein régime. Il existe néanmoins des mesures de précaution que vous pouvez adopter pour réduire le risque d'infection.

La sévérité d’un rhume pourrait être fortement liée à la composition de la flore microbienne (microbiote) initiale du nez, et en particulier les bactéries prédominantes.

De nombreux microbes, virus et bactéries, responsables d'infections peuvent être transmis par les mains. Sans verser dans l'obsession, une hygiène stricte est donc indispensable. Comment bien se laver les mains ?

L’accumulation de graisse (obésité) abdominale est très largement influencée par la composition du microbiote intestinal : l’alimentation peut agir de manière déterminante.

Des douleurs au ventre peuvent être le symptôme d’une infection invasive à méningocoque, la bactérie responsable de la méningite. Mais ce signe est encore peu reconnu.

Les couples qui vivent sous le même toit partagent tout, y compris les bactéries présentes sur la peau. Les similitudes entre les partenaires sont vraiment frappantes.

Quantité de savon, de type normal ou antibactérien, température de l’eau… : ce n’est pas cela qui fait la différence pour l’efficacité du lavage des mains, mais bien le temps qu’on y consacre.