La probabilité d’une grossesse de jumeaux dizygotes (« faux jumeaux ») atteint son pic vers la trentaine, puis décroît à l’approche de la ménopause. Pourquoi cette fréquence de double ovulation durant cette période de la vie ?

Lors de la ménopause, beaucoup de femmes prennent du poids, et elles grossissent surtout au ventre. Il s’avère que certains médicaments accentuent le phénomène.

Une femme de type européen sur trois aurait hérité d'une variante génétique de l'Homme de Néandertal (Néandertaliens), avec alors un effet protecteur pour la femme enceinte, moins susceptible de connaître une fausse couche et des saignements en début de grossesse.

La consommation d’alcool par la femme enceinte expose l’enfant à des problèmes graves, qui peuvent se manifester dès la naissance ou plus tard dans l’existence.

On retrouve des polluants organiques persistants (POP) dans tous les organismes vivants, et ainsi dans le lait maternel. Que faire pour qu'il en contienne le moins possible ?

La consommation de légumes diminue le risque de naissance prématurée, mais pour cela, il faut en manger de bonnes quantités bien avant d’être enceinte.

Les bénéfices de l’allaitement au sein sont nombreux, tant pour la maman que pour l’enfant. Chez la femme, un effet très positif est observé sur le plan métabolique, et en particulier contre le diabète.

Les vergetures (ou stries) sont des sortes de petites fissures semblables à des cicatrices molles formées sur la peau. Elles apparaissent lorsque la peau est soumise à une distension exagérée. Que peut-on faire ?

Les serviettes hygiéniques et les tampons contiennent-ils des substances nocives susceptibles de nuire à la santé des utilisatrices ?

Une alimentation saine et variée et un poids santé ont non seulement un effet positif sur la fertilité, mais ils sont également essentiels pour une grossesse, un accouchement et un post-partum sereins. On parle des 1000 premiers jours : de quoi s'agit-il ?

S’il est relativement rare, le syndrome du choc toxique associé à l’utilisation du tampon hygiénique (ou périodique) peut avoir des conséquences dramatiques. Comment limiter le risque ?

On parle de l’arrivée d’un enfant comme d’un grand bonheur, mais pour une femme sur cinq, la période pré et post-accouchement peut être obscurcie par des problèmes mentaux.

Il existe un lien entre l'activité sexuelle et le début de la ménopause. Pour résumer : plus une femme fait l'amour, plus la ménopause est retardée.

Faudrait-il inciter les maternités à développer des structures permettant d’accoucher dans l’eau ? En tout cas, il semblerait que cette option ne présente pas plus de risques que l’accouchement « terrestre ».

L'influence de la pollution de l'air commence dès la vie foetale et elle peut avoir un effet sur la structure et le fonctionnement du cerveau, avec ultérieurement un risque accru de problèmes de santé mentale comme les comportements addictifs et le TDAH.

En cas de grossesse prolongée, le déclenchement (induction) de l’accouchement doit être fortement envisagé. La question consiste à savoir à quel moment y procéder.

Les enfants nés par césarienne seraient plus susceptibles de développer un trouble du développement comme l'autisme ou le TDA/H. Pour quelle raison ? C'est la grande question.

Les médias sociaux regorgent d'informations et de conseils santé sur l'usage des médicaments par la femme enceinte. Méfiance : une proportion importante de ces publications véhicule des messages erronés.

Il est parfaitement possible d’utiliser un moyen contraceptif qui entraîne un arrêt des règles. Pourtant, de nombreuses femmes sont réticentes face à la suppression des menstruations. Pour quelle raison ?

Aucune saison n'est idéale pour une femme enceinte : chacune présente ses avantages et ses inconvénients. En hiver, le froid et l’humidité incitent à ne pas sortir, poussent à une certaine léthargie, au manque d'exercice et au grignotage. Le risque d'infection respiratoire est nettement plus élevé. Quels sont les pièges à éviter ?

Le lycopène de la tomate, un pigment dont on connaît les propriétés antioxydantes, présente un effet bénéfique pour la bonne santé du sperme, en renforçant la structure des spermatozoïdes.

Il est habituellement recommandé à la femme enceinte de dormir sur le côté gauche afin de limiter le risque de certaines complications de la grossesse. Ce conseil est-il incontournable ?

Une récente étude confirme que le traitement hormonal de substitution (THS), administré lors de la ménopause, augmente le risque de cancer du sein. Faut-il pour autant le bannir ?

Surpoids et hypertension artérielle : après une ou plusieurs grossesses, les femmes peuvent présenter ces deux facteurs de risque cardiovasculaire. Quelles sont les mamans les plus concernées ?