La dépression est une maladie lourde, mais elle présenterait au moins un aspect positif : elle donne l’occasion de réaliser un travail sur soi et sur sa perception des objectifs de vie.
La Self-Rating Depression Scale est une méthode simple fréquemment utilisée par les médecins et les psychologues afin de savoir si une personne est ou non dépressive. Ce test présente une valeur indicative.
Malgré le traitement, une proportion considérable des patients souffrant de polyarthrite rhumatoïde continue à avoir mal, et beaucoup sont sujets à l’anxiété et à la dépression.
Les personnes qui souffrent du dos s’exposent à un risque nettement accru de développer un trouble mental, de type dépression ou anxiété, du stress, ainsi que des problèmes de sommeil.
La fausse couche (« avortement spontané ») survient généralement à un stade précoce de la grossesse. Les conséquences psychologiques sont bien réelles pour beaucoup de femmes.
Les acouphènes concernent environ 10% de la population. La cause de ces bourdonnements, sifflements, tintements..., dans l’oreille n’est pas connue, mais l’aspect psychologique doit retenir l’attention.
Pour empêcher qu’une dépression post-natale s’installe dans le temps, il est important de chercher immédiatement de l’aide. Non traitée, elle peut durer des années. Quelles sont les solutions médicales disponibles et que peut faire la maman elle-même ?
Une dépression post-natale se produit généralement par une combinaison de causes physiques, de facteurs environnementaux (ce que l’on vit, les conditions sociales…) et de caractéristiques personnelles. Certaines mamans sont plus à risque que d'autres. Pour quelles raisons ?
Des chercheurs ont associé le risque de dépression majeure à une vingtaine de variations génétiques « significatives » : une nouvelle piste de traitement ?
La dépression et le trouble anxieux exposent de manière très nette au risque de calcification des artères coronaires, avec une menace cardiovasculaire.
Une enquête réalisée en France souligne à nouveau les conséquences graves, psychologiques et physiques, des violences sexuelles et met en évidence une prise en charge mal adaptée dans bien des cas.
L’activité physique joue un rôle très important pour le bien-être et la qualité de vie, quel que soit l’âge. Ici, c’est son influence sur les symptômes de la ménopause qui a été examinée.
Les émotions négatives peuvent-elles influencer l’évolution du pied diabétique ? Il semble bien que ce soit le cas, et qu’une prise en charge psychologique soit dès lors importante.
La dépression est considérée comme un important facteur de risque de diabète, mais l’association n’est pas systématique : qu’est-ce qui fait la différence ?
Les patients souffrant de vertiges vestibulaires sont beaucoup plus à risque de troubles de la concentration et de la mémoire, ainsi que d’anxiété et de dépression.
De plus en plus de preuves s’accumulent pour considérer que la dépression n’est pas seulement un trouble mental, mais que ses effets vont bien au-delà.
La luminothérapie peut être d’une aide précieuse pour les patients souffrant de dépression. En combinaison avec les médicaments (antidépresseurs), les résultats paraissent probants.
Des études ont fini par prouver ce que beaucoup d’amis des chiens, des chats et d'autres animaux domestiques savent depuis longtemps : un animal de compagnie est bon pour la santé ! Voici les bienfaits apportés par leur présence.
L’activité cérébrale varie-t-elle en fonction des saisons ? Il semble que oui, pas seulement en ce qui concerne l’humeur, mais aussi sur le plan cognitif.
Tout le monde a un peu plus de mal quand le temps est maussade à longueur de journée. Mais on estime que 5 à 10% des gens sont à ce point affectés qu’ils ont des difficultés à fonctionner normalement. On parle de « blues de l'hiver », voire d'une vraie dépression saisonnière.
La nature et la qualité des relations avec la maman interviennent dans le risque de dépression, et ceci quand les liens affectifs sont dégradés, mais aussi lorsqu’ils sont très - trop ? - étroits.