La crainte de compliquer leur état de santé conduit beaucoup de patients souffrant d’une maladie cardiovasculaire à réduire la fréquence des rapports sexuels, voire à les bannir.
Si l’utilité thérapeutique des antidépresseurs ne fait aucun doute dans la grande majorité des cas, ces médicaments compliquent néanmoins la situation pour une partie des patients.
Chez les moins de 40 ans, surtout les femmes, des antécédents de dépression et/ou de tentative de suicide font exploser le risque de mourir d’une crise cardiaque.
Qu’elle soit poursuivie à son terme ou interrompue par une IVG, une grossesse non désirée engendre le même niveau de risque pour la santé mentale de la femme.
C’est un constat étonnant que posent des chercheurs canadiens : les enfants qui grandissent aux côtés d’une mère dépressive présentent des structures cérébrales différentes des autres mômes.
Les mères au foyer s’exposent à un risque de dépression accru par rapport à celles qui travaillent… sauf lorsque ces dernières essaient de tout assurer sur les deux… fronts.
La thérapie par le rire connaît un succès croissant. Une récente étude s’est penchée sur les bienfaits de ces séances pour le moral des personnes âgées.
Des chercheurs de la KUL ont déterminé que les aliments gras permettaient d’atténuer le sentiment de tristesse et d’améliorer l’humeur, indépendamment du plaisir de manger.