Le tabagisme durant la grossesse expose à un risque réel de malformations du fœtus. Parmi celles-ci, un nombre anormal de doigts, relève une étude britannique.
L’ocytocine est connue pour accélérer l’accouchement. Mais cette hormone joue aussi un rôle important dans les interactions sociales. En spray nasal, elle rend ses utilisateurs euphoriques.
Chez les moins de 40 ans, surtout les femmes, des antécédents de dépression et/ou de tentative de suicide font exploser le risque de mourir d’une crise cardiaque.
Il est vivement conseillé d’écouter le bruit d’une chute d’eau (cascade) pour réduire la sensation de douleur et de se rendre au bord de la mer pour lutter contre la dépression.
Nous ne sommes pas égaux devant la reconnaissance des visages. Explication ? Ceux qui les « enregistrent » comme un tout s’en souviennent beaucoup mieux.
Des chercheurs britanniques affirment que le syndrome de fatigue chronique (SFC) pourrait affecter un élève sur cent, et expliquer pas mal de cas d’absentéisme scolaire.
Même en cas de prématurité « modérée », l’enfant est davantage susceptible de présenter des troubles du comportement. Une aide ciblée peut donc s’avérer nécessaire.
Griller sa cigarette dans une voiture revient à exposer les autres à un taux de substances nocives… vingt-cinq fois plus élevé que dans un local enfumé !
Qu’elle soit poursuivie à son terme ou interrompue par une IVG, une grossesse non désirée engendre le même niveau de risque pour la santé mentale de la femme.
Transports en commun et voiture : les travailleurs qui empruntent ces modes de locomotion pour se rendre au boulot subissent plus de stress au quotidien. Et ça fait du monde…
Une très étonnante étude tend à démontrer que l’arrêt spontané du tabac peut être considéré, dans certains cas, comme l’un des premiers signes d’un cancer du poumon.
Parmi les astuces pour lutter contre un excès de stress, voire une poussée d'adrénaline, en cours de journée ou en rentrant du travail, il y a le Tea Time.
C’est un constat étonnant que posent des chercheurs canadiens : les enfants qui grandissent aux côtés d’une mère dépressive présentent des structures cérébrales différentes des autres mômes.
Les garçons – et les hommes, par la suite – ne voient pas l’utilité de parler de leurs problèmes. Ils considèrent, en fait, qu’il s’agit d’une perte de temps.
Les mères au foyer s’exposent à un risque de dépression accru par rapport à celles qui travaillent… sauf lorsque ces dernières essaient de tout assurer sur les deux… fronts.