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Que faire en cas de commotion cérébrale ?
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La perte de connaissance à la suite d'un coup ou d'une chute doit faire craindre une commotion cérébrale. A quels signes faut-il être attentif et comment réagir ?
Avant tout, il ne faut pas brusquer la personne, par exemple en la contraignant à se relever ou à effectuer quelques pas. Elle doit reprendre tranquillement ses esprits, en position assise ou allongée.
• Si la conscience n'est pas altérée, si l'on ne constate pas de trouble particulier, une surveillance étroite peut suffire : le comportement sera observé attentivement durant les jours qui suivent. Pendant les premières vingt-quatre heures, il conviendra de poser régulièrement à la personne (quitte à la réveiller) quelques questions simples (nom, adresse, date de naissance... ?).
• Au moindre doute, juste après l'accident ou plus tard, il est nécessaire de s'adresser immédiatement à un médecin. Ceci est particulièrement urgent en cas de saignement de nez ou d'oreille, de maux de tête, de nausées, de vertiges, de difficultés respiratoires...
Le repos constitue le meilleur traitement d'une commotion cérébrale. Quelques jours au lit (au début dans l'obscurité) contribueront au rétablissement. Une hospitalisation peut être nécessaire.