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Arrêt cardiaque : des signes d’alerte une fois sur deux
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Dans plus de la moitié des cas d’arrêt cardiaque, les victimes ont ressenti certains symptômes durant le mois qui a précédé l’accident.
L’intention de ces chercheurs de l’université de Portland consiste à souligner combien il est important, lorsque des signes inhabituels se manifestent, de consulter un médecin afin d’explorer le risque d’événement dramatique. Quand l’arrêt cardiaque survient en dehors du milieu hospitalier, à peine 10% des victimes y survivent. L’étude a porté sur une très large population de patients âgés de 35 à 65 ans.
Que disent les principaux résultats ?
D’abord, qu’un peu plus de la moitié des rescapés font état de signes avant-coureurs (des proches de personnes décédées ont également témoigné), qui se sont manifestés entre quatre semaines et une heure avant l’accident. Le plus fréquent porte sur des douleurs à la poitrine (56%), suivi par un souffle court (hors effort physique) et des étourdissements ou des palpitations. La plupart présentaient une maladie coronarienne, mais elle n’avait été diagnostiquée que chez une minorité avant que se produise l’arrêt cardiaque.
La recommandation est évidente : ne jamais ignorer des signes suspects, a fortiori lorsqu’ils se reproduisent, et en parler rapidement avec un praticien.