L'éjaculation prématurée concerne une proportion importante d'hommes. De quelles solutions disposent-ils pour réussir à mieux se contrôler ?

Tout homme peut évidemment connaître l'une ou l'autre éjaculation trop rapide. C'est un phénomène normal. Le problème survient lorsque l'éjaculation prématurée est fréquente, voire systématique. Mais comment définit-on l'éjaculation précoce ?

Une vaste étude écarte les craintes que l’on entend ici ou là : la pratique même intensive du vélo ne présente pas de risque de trouble de l'érection.

Lorsqu’on demande aux femmes sexuellement insatisfaites ce qui les contrarie le plus, le manque d’attention du partenaire arrive en tête.

Les exercices de musculation du périnée donnent d’excellents résultats contre l’éjaculation prématurée.

Dans près d’un cas sur trois, les troubles érectiles peuvent être surmontés en modifiant ses comportements. Ce n’est pas facile, mais le jeu en vaut la chandelle.

Les autorités américaines ont approuvé un nouveau traitement contre la maladie de La Peyronie, qui se traduit par une courbure de la verge en érection.

Une étude a analysé l’association entre la dysfonction érectile et les troubles cardiovasculaires : le lien apparaît évident.

Les comportements sexuels ont évolué au cours des dix dernières années : la fréquence des rapports est en berne. Ceci étant, le nombre de partenaires augmente.

On évoque régulièrement ses bienfaits réels ou supposés contre les troubles de l’érection et l’éjaculation précoce : le ginseng est-il à recommander ?

L’érection et la lubrification vaginale n’expriment pas forcément le désir sexuel. Et l’inverse est vrai aussi : l’envie n’engendre pas toujours ces processus.

Une étude très étonnante indique qu'il existe un lien entre le volume des testicules et le risque cardiovasculaire.

Un petit pourcentage de patients traités pour un cancer de la prostate se plaignent d’une réduction de la longueur du pénis.

La consommation abusive d’alcool et la dépendance aux drogues (douces ou dures) nuit sévèrement et durablement à la santé sexuelle.

Les troubles de l’érection doivent être considérés comme un indicateur de risque cardiovasculaire.

Une association très nette est établie entre la maladie parodontale et la dysfonction érectile.

Le ginseng présente-t-il un intérêt contre les troubles de l’érection et de l’éjaculation ? Peut-être, mais il est alors très modeste.

Plus le tour de taille est important, plus s’élève le risque de présenter des troubles de la miction et de l’érection.

Les jeunes obèses accusent un déficit important en testostérone, ce qui ne va pas sans risques pour le fonctionnement sexuel.

Chez les jeunes garçons, il est fréquent que le prépuce ne soit pas rétractable, empêchant ainsi le décalottage du gland.

Une toxine extraite du venin d’une araignée sud-américaine présente d’étonnantes propriétés pour stimuler l’érection.

Le recours aux ultrasons semble présenter une intéressante efficacité contre la dysfonction érectile.

Les éléments déclencheurs de l’érection sont connus de longue date. Par contre, les mécanismes précis par lesquels elle se maintient ne l’étaient pas.

L’obésité abdominale est associée à un risque (nettement) accru de présenter des troubles urinaires et/ou une dysfonction érectile.

Une proportion importante d’hommes souffrant du syndrome d’apnées du sommeil présente une dysfonction érectile.

Une association a été établie entres les troubles de l’érection et la sensibilité aux hémorroïdes.

La planification des rapports sexuels conduit à des troubles de l’érection dans une proportion importante de cas.

Aux Etats-Unis, une proportion significative de jeunes prennent des médicaments pour se rassurer sur leur érection.

Une association est observée entre les maladies des gencives et les troubles de l’érection.