La méditation de pleine conscience (mindfulness) améliore sensiblement le bien-être des patients souffrant de démence à un stade précoce ainsi que celui de leurs aidants proches.
On connaît l’importance du sommeil dans la consolidation de la mémoire : il s’avère à présent que la privation de sommeil facilite les souvenirs erronés, les erreurs d’encodage.
Ce trouble du sommeil est méconnu et même s’il est bénin, il peut néanmoins avoir des conséquences (très) perturbantes. Le syndrome de la tête qui explose recèle de nombreux mystères.
Une personne sur trois souffre de troubles du sommeil. Souvent, ils présentent un caractère ponctuel, passager. Mais lorsque ces difficultés perdurent, elles peuvent engendrer de sérieux problèmes.
Etonnant : selon des chercheurs américains, la synchronisation du sommeil dans le couple peut être considérée comme un indice de la qualité de leur relation.
Un test simple permet de déterminer son chronotype et de savoir si l’on est du matin, du soir ou un peu des deux, et le cas échéant de réorganiser son rythme veille - sommeil.
La thérapie cognitivo-comportementale (TCC) est largement préférable à l’usage des médicaments pour traiter les troubles du sommeil, et ceci est particulièrement vrai chez les seniors.
Cauchemars et mauvais rêves : les nuits de certains d’entre nous sont régulièrement perturbées par ces expériences désagréables, et parfois traumatisantes.
L’intention est a priori compréhensible, mais ses effets sont contre-productifs : la restriction alimentaire contribue à la prise de poids chez l’enfant.
Nombreux sont ceux et celles qui ressentent cette sensation de pieds glacés en se glissant dans le lit. Au-delà de la bouillotte, quelles solutions peut-on leur proposer ?
A quelle heure mon enfant doit-il aller dormir ? De combien d’heures de sommeil a-t-il besoin ? De nombreux parents se posent ces questions. Quels points de repère peut-on leur donner ?