Les termes utilisés par le médecin pour aborder la problématique de l’excès de poids risquent de heurter le patient, et de compromettre sa prise en charge.
Pour vivre longtemps, il est plus important de pratiquer une activité physique régulière que de surveiller son poids. Encore que l’idéal, évidemment, consiste à combiner les deux.
On sait qu’un enfant de mère en surpoids s’expose à un risque accru d’obésité, avec les troubles qui lui sont liés. Des chercheurs anglais démontrent que le phénomène démarre dans l’utérus.
Pavé dans la mare : au terme d’une vaste étude, des chercheurs américains affirment que l’interdiction de la vente de boissons sucrées dans les écoles donne des résultats (très) mitigés.
Une perte de poids, même modeste, améliore de manière significative la fonction érectile et le désir sexuel chez les hommes obèses et diabétiques de type 2.
Par quel mécanisme le stress nous incite-t-il à consommer des aliments « réconfortants », à forte teneur en calories ? Tout est dans l’action de la ghréline, l’hormone de la faim.
Une consommation quotidienne de viande rouge, surtout lorsqu’elle est transformée, augmente sensiblement le risque de développer un diabète de type 2 (ou diabète adulte).
Le « Bite Counter » a été développé par une société américaine, qui explique que cet appareil compte le nombre de bouchées et calcule le total des calories ingérées.
Un programme sur mesure pour perdre les kilos en trop, et surtout adapté selon la silhouette de chacun : c’est le principe défendu par la morphonutrition.
Une étude souligne que ce n’est pas l’obésité définie par l’IMC qui accroît le risque de mortalité chez le patient coronarien, mais celle qui s’exprime par un tour de taille trop élevé.