Un spécialiste américain a développé une méthode qu’il qualifie de simple, compréhensible par tous et efficace pour optimaliser les bienfaits de l’exercice physique.
Si le surpoids et l’obésité sont les principaux facteurs de risque de diabète, le tour de taille en tant que tel doit être considéré comme un indicateur important.
Les événements stressants vont non seulement inciter à manger plus gras et plus sucré, mais cela provoque aussi un ralentissement du métabolisme, ce qui augmente le risque de prise de poids.
Les préjugés et la discrimination à l’égard des personnes obèses est une triste réalité et se manifeste dans bien des domaines de la vie quotidienne. Au cabinet du médecin aussi.
Une étude montre que les femmes fumeuses et en excès de poids perçoivent moins bien le goût des sucres et des graisses, ce qui les inciterait à en consommer davantage.
L’excès de poids constitue un facteur évident de risque cardiovasculaire. Une vaste étude montre que maigrir s'accompagne d'effets positifs à tout moment de l’existence.
Une proportion énorme des parents d’enfants en surpoids sous-estiment – nient ? – cette réalité, ce qui ne facilite évidemment pas l’adoption d’habitudes saines.
L’obésité est considérée comme une maladie en raison de ses effets néfastes pour la santé. Mais le message ne risque-t-il pas d'être contre-productif ?
La flore bactérienne présente dans les voies urinaires des femmes souffrant d’incontinence présente des particularités qui pourraient devenir des cibles de traitement.
Les bienfaits du petit déjeuner ont été maintes fois démontrés. Et quand on fait l’impasse sur ce repas si important, les conséquences néfastes perdurent pendant de longues années.
L’intention est a priori compréhensible, mais ses effets sont contre-productifs : la restriction alimentaire contribue à la prise de poids chez l’enfant.
La chirurgie bariatrique (ou chirurgie de l'obésité) améliore considérablement les paramètres de la fonction sexuelle chez la femme. Un bénéfice extrêmement important en termes de bien-être.