Il n'existe pas une cause exclusive à la démence. Les spécialistes épinglent plusieurs facteurs de risque.

Un spectateur sur cinq rapporte un inconfort, et parfois des troubles plus notables, lorsqu’il visionne un film en 3D. Et ceci est surtout vrai chez les jeunes.

Un nombre insuffisant d’heures de sommeil risque de réduire la réponse immunitaire induite par la vaccination.

Un logiciel permet de déceler les modifications de la voix liées à la maladie de Parkinson.

Les fumeurs sont plus exposés aux troubles du comportement en sommeil paradoxal (TCSP), la phase durant laquelle surviennent les rêves.

Le phénomène du binge drinking – boire beaucoup d’alcool en un court laps de temps – ne concerne pas que les jeunes. Et chez les plus âgés, ce comportement accentue les risques de démence sénile.

La coxarthrose ne se manifeste pas que durant la journée : la qualité du sommeil est elle aussi affectée.

Le vertige est l’un des symptômes majeurs du syndrome vestibulaire : comprendre ce qui se passe dans le cerveau aidera à développer une prise en charge plus efficace.

Les troubles respiratoires sévères du sommeil exposent à un risque notablement accru de décès par cancer.

Une association très nette est établie entre l’insomnie et l’hypertension. Mais qu’est-ce qui déclenche quoi ?

Certains cas d’insomnie seraient liés à la peur du noir, qui n’est donc pas l’apanage des enfants.

Le manque de sommeil influence de manière directe l’activité de la région du cerveau liée à la peur et à l’anxiété.

La pollution atmosphérique liée à la circulation automobile n’est pas le seul facteur de risque pour la santé : le bruit intervient aussi, et nettement.

Aucun sport, aucun pays n’est épargné : le harcèlement sexuel des athlètes est un problème majeur.

S’inspirant des principes de la thermothérapie, voici l’oreiller qui garde la tête au frais toute la nuit.

Suites d’un AVC, mémoire défaillante, faibles capacités de calcul… : les recherches sur les bénéfices de la stimulation cérébrale sont nombreuses.

De simples mesures hygiéno-diététiques permettent de lutter efficacement contre les principaux facteurs de risque de l'accident vasculaire cérébral.

Le syndrome d’apnées du sommeil expose à un risque considérablement accru de souffrir d’une thrombose veineuse profonde.

C’est durant la phase de sommeil paradoxal qu’il est le plus difficile de réveiller un somnambule. Une observation surprenante. Explication.

Le sommeil serait une merveilleuse arme anti-kilos. Vrai ou faux ?

Les acouphènes peuvent considérablement perturber le sommeil, alors que les troubles du sommeil accentuent la sévérité des acouphènes.

La lumière bleutée des fonds d'écran serait particulièrement néfaste pour votre endormissement et/ou à la qualité de votre sommeil. Que faire pour mieux dormir ?

L’obésité accroît considérablement le risque de décès lié à la consommation de somnifères.

Les femmes qui consomment un verre d’alcool chaque jour présentent un risque réduit de 20% de souffrir d’un AVC. Mais attention : deux, c’est déjà trop.

Lorsqu’elles prennent le volant, les personnes en (net) surpoids s’exposent à des risques accrus, auxquels les fabricants ne prêtent pas suffisamment attention.

Le ronflement chez l’enfant est sous-diagnostiqué. Pourtant, il peut entraîner un éventail de troubles. La forme du visage est à prendre en considération.

L’écrasante majorité des jeunes ont conscience que le bruit peut être néfaste pour l’audition, mais cela ne change pas grand-chose à leur comportement.

Après une chirurgie cardiaque, la détection et la prise en charge des troubles du sommeil doivent être rapides et énergiques.

Certains enfants présentant une énurésie nocturne (pipi au lit) pourraient tirer bénéfice de l’ablation des amygdales.

Les maux de tête sont associés à une baisse du désir et à des douleurs durant les relations sexuelles.