infections urinaires

Beaucoup de femmes pensent que leurs poils pubiens ne sont pas hygiéniques. Or, une nouvelle étude suggère tout le contraire. Les poils du maillot protégeraient les femmes contre les infections urinaires récurrentes. Une épilation extrême des parties génitales (épilation intégrale) exposerait davantage aux infections.

La consommation de viande peut augmenter le risque de développer une infection urinaire. Comment expliquer ce lien avec la cystite et que peut-on faire pour limiter la menace ?

Une bandelette urinaire (tigette urinaire) sert à réaliser une analyse rapide permettant le dépistage de certains troubles de santé. Le principe repose sur des couleurs : plongée dans l'urine, la bandelette affiche une couleur correspondant à un éventuel problème. Comment interpréter ces résultats ?

La cystite est fréquente : environ une femme sur trois connaît au moins un épisode au cours de sa vie. Quels sont les signes très évocateurs et les deux symptômes qui permettent de poser un diagnostic quasiment certain ?

On parle d'infection urinaire (cystite) récurrente quand on constate trois épisodes d'infection ou plus par an. On estime que 3% des femmes adultes se trouvent dans cette situation. Comment limiter le risque de récidive ?

Une proportion importante de femmes souffre de cystite récidivante. Le conseil classique consiste à s’hydrater davantage. Et l’effet bénéfique semble alors très net.

Les risques de souffrir d'une cystite peuvent être réduits en adoptant certains comportements de prévention assez simples à respecter. Quels sont les conseils importants qu'il faut garder à l'esprit ?

Aucune manifestation de l’incontinence urinaire ne doit être négligée par le médecin. Des signes considérés comme relativement bénins peuvent être très perturbants.

En raison de la proximité entre le vagin, l’anus et l’urètre, les infections urinaires sont bien plus fréquentes chez les jeunes filles et les femmes par rapport aux hommes, surtout chez celles qui ont une vie sexuelle active. Quels conseils pour éviter la cystite ?

La canneberge, cette petite baie rouge hypocalorique, peut se consommer fraîche ou sèche, en compote ou en jus, dans les plats salés ou les recettes sucrées. Elle produit de nombreux bienfaits, et pas uniquement dans la prévention des infections urinaires.

La prescription trop fréquente d’antibiotiques augmenterait le risque de développer un diabète de type 2 (DT2).

Lorsque l’hygiène des toilettes à l’école est déplorable, de nombreux enfants, et en particulier les filles, s’exposent à des problèmes urinaires sérieux.

Beaucoup de femmes souffrant d’incontinence urinaire ne demandent pas d’aide médicale. Comment expliquer ces réticences ?

L’amaigrissement peut considérablement aider les femmes souffrant d’incontinence urinaire. Dans ce contexte, la chirurgie bariatrique (chirurgie de l’obésité) joue un rôle clé.

La flore bactérienne présente dans les voies urinaires des femmes souffrant d’incontinence présente des particularités qui pourraient devenir des cibles de traitement.

Les propriétés antibactériennes du cranberry (la canneberge) ont fait l’objet de nouvelles recherches aux résultats plutôt positifs.

Une proportion significative des cas de rétention urinaire chronique chez la femme trouve son origine dans la prise d’antidouleurs opioïdes.

Les femmes ménopausées sont plus sensibles aux infections urinaires. La composante hormonale entre en jeu.

L’obésité abdominale est associée à un risque (nettement) accru de présenter des troubles urinaires et/ou une dysfonction érectile.

Les bébés circoncis courent beaucoup moins de risques de contracter une infection urinaire. Par contre, le fait que le prépuce soit serré ou rétracté n’intervient pas.

Le test par bandelette suffit souvent au diagnostic d’infection urinaire chez l’enfant, mais pas chez les nourrissons.

Des chercheurs américains ont conduit une expérience étonnante : ils ont administré des suppositoires vaginaux aux probiotiques à des femmes souffrant d’infection urinaire. Et ça marche.