Le cauchemar est une expérience partagée par tous, mais à des degrés très différents. Certains y sont beaucoup plus exposés que d’autres : existe-t-il des facteurs de risque ?

La pleine conscience (mindfulness) a le vent en poupe, et ses bienfaits sont vantés un peu partout. Pourtant, elle ne serait pas dénuée de pièges. Ainsi, elle pourrait rendre certaines personnes plus individualistes, plus égocentriques, plus égoïstes. Mais ce risque peut être réduit de manière relativement simple.

L’arrêt des médicaments antidépresseurs ne doit jamais se faire du jour au lendemain. Il est nécessaire de stopper le traitement progressivement afin de limiter le risque de syndrome de sevrage.

Lorsque nous avons à choisir la composition d’un repas, nous ne laissons pas uniquement parler nos envies. On constate en effet une influence mutuelle entre les convives, et ceci est notamment le cas sur le lieu de travail.

Face à un patient au comportement difficile, le médecin est plus susceptible de commettre une erreur de diagnostic : il faut donc faire attention... de part et d'autre.

Une qualité de sommeil insuffisante influence de nombreux paramètres santé et bien-être. Il en va ainsi de la sexualité, en particulier chez les femmes.

Après les livres de coloriage pour adultes qui aident à déstresser, à se concentrer et à se relaxer, l’origami (art de plier le papier) gagne en popularité, en raison de ses bienfaits psychologiques et pour le bien-être de manière générale.

Quand on est stressé, on respire généralement plus vite et moins profondément. Dans les cas extrêmes, on peut même souffrir d’hyperventilation. Pour vous détendre, la respiration abdominale peut beaucoup aider. De quoi s'agit-il et comment faire ?

Le cri est un mécanisme partagé par de très nombreuses espèces animales, incluant évidemment l’être humain. Mais contrairement à bien d’autres animaux, nos cris n’ont pas qu’un caractère négatif. Et curieusement, nous sommes plus réactifs en entendant des cris « positifs ».

Potins, ragots, commérages… : classiquement, ces bavardages sont perçus de manière négative. Pourtant, la fonction et les répercussions de ces échanges présentent des aspects positifs importants.

Au fur et à mesure que l’âge avance, la tendance serait à faire preuve de davantage de générosité, d’altruisme, avec une propension croissante à aider les autres lorsque les circonstances s’y prêtent.

Lorsqu’on y met un peu de rythme, la marche en couple est une excellente activité physique, d’autant que les partenaires se motivent mutuellement. Mais attention à ne pas trop ralentir.

Extrêmement sollicités depuis le premier confinement, les psychologues sont des victimes collatérales de la pandémie. Confrontés à la détresse quotidienne de nombreuses personnes, certains d’entre eux sont eux-mêmes au bout du rouleau.

Les enfants aiment bien passer du temps à l'extérieur. Profitez-en pour leur faire découvrir les joies du jardinage. Ils prendront l'air, découvriront les fleurs et les plantes, et même l'art de cultiver des légumes, qu'ils rechigneront moins à manger.

Le tabac est un serial killer particulièrement redoutable. La durée de l’addiction semble être plus déterminante que le nombre de cigarettes fumées par jour. Et il est bénéfique d'arrêter à tout moment, même à 80 ans !

Les regrets après une aventure d’un soir ne servent pas toujours de leçon : cela n’empêche pas de connaître à nouveau une relation sexuelle d’une nuit.

Emojis, émoticônes, smileys… : ces dessins et ces symboles ont littéralement envahi nos échanges sur les réseaux sociaux et via les SMS (textos). Il s’avère cependant que nous ne les utilisons pas toujours à bon escient, en particulier lorsque ces images portent une connotation négative.

Arracher ses poils, se gratter la peau, se ronger les ongles… : ces comportements peuvent devenir compulsifs et très problématiques. Par quelles circonstances sont-ils favorisés ?

En situation de stress ou en cas de déprime, la consommation d’un supplément à base d’extraits de safran donnerait de bons résultats pour surmonter ce moment compliqué.

La solidité et la longévité d’un couple tiennent à une série de facteurs individuels et communs. Parmi ceux-ci, l’humour, le jeu, l’espièglerie…, peuvent jouer un rôle important pour renforcer les liens et apaiser les tensions.

Une variation génétique influence-t-elle le devenir d’un mariage, heureux ou malheureux ? En tout cas, une association a été établie et elle est assez intrigante.

Il n'y a rien de mal à être très occupé. Mais dans certains cas, cela peut devenir maladif. Les anglo-saxons parlent même de la « maladie de l’impatience » (« hurrysickness ») pour ces personnes qui se sentent constamment pressées et agitées parce qu'elles pensent manquer de temps en permanence. Ce n'est pas une pathologie au sens littéral du terme, mais cette situation peut tout de même avoir de sérieuses conséquences sur la santé.

La manière dont une personne prononce un mot ou une phrase peut permettre de déceler si elle dit la vérité ou s’il s’agit d’un mensonge. Quels sont les paramètres qui font la différence ?

On dit que la première impression que l’on a d’un interlocuteur est souvent la bonne. Une sorte de « feeling » entre en jeu, et dans bien des cas, il détermine l’évolution de la relation. Cette première impression est-elle pertinente ?

Il ne faut pas confondre la peur (phobie) des piqûres et des seringues et celle des aiguilles et autres épingles, ou de tout objet pointu. Elles se ressemblent et partagent des points communs, mais ce n'est pas tout à fait la même chose. Quand parle-t-on de bélonéphobie, de trypanophobie ou d'aichmophobie ?

Notre qualité de vie est déterminée par des aspects subjectifs et par toutes les petites choses que nous faisons chaque jour. Cela s'applique également à la relation de couple. La confiance mutuelle, l'intimité et la passion sont continuellement à l’épreuve dans nos interactions avec notre partenaire.