Les tumeurs de la tête et du cou s'inscrivent en cinquième position des cancers les plus fréquents en Europe. Comment les reconnaître pour les dépister le plus tôt possible ?

Une consommation modérée de vin est associée à une réduction du risque de souffrir d'une dépression.

La plupart des études sur les racines de l’addiction à l’alcool s’intéressent aux comportements à l’adolescence. Ces recherches-ci remontent bien plus loin.

L’appartenance à un gang expose à de sérieux problèmes psychiatriques, qui devraient être mieux pris en charge par des services de proximité spécialisés.

Une équipe américaine apporte un nouvel éclairage sur les mécanismes biologiques qui conduisent à l’abus d'alcool.

Une durée du sommeil satisfaisante contribue de manière importante à la prévention des maladies cardiovasculaires.

Souvent, les termes qui qualifient l’état d’ébriété d’un homme ou d’une femme ne sont pas du tout les mêmes. Dans quelle mesure les mots ont-ils leur importance ?

Une série de mesures préventives, appliquées au quotidien, peuvent permettre de diminuer les risques d'accident vasculaire cérébral.

Les effets d’une consommation excessive d’alcool persistent bien plus longtemps qu’on ne l’imagine : les capacités du cerveau sont affectées même quand la gueule de bois s’est dissipée.

La consommation d’alcool modifie les comportements alimentaires, qui tendent davantage vers le gras.

La dépression est associée au risque de décès prématuré chez les patients coronariens. Mais pour quelle raison ?

Les patients qui se plaignent d’une mauvaise santé à cause du stress doivent être écoutés très attentivement : il s’agit d’un indice important.

La consommation de stéroïdes anabolisants affecte la santé mentale des athlètes bien des années plus tard.

Les psychiatres analysent les tueries de masse et s’interrogent sur le lien entre ces événements et la maladie mentale.

Le baclofène suscite de grands espoirs pour l’aide au sevrage alcoolique et le maintien de l’abstinence, mais son usage est controversé.

Le régime méditerranéen (ou crétois) prévient dans une certaine mesure le vieillissement des capacités cérébrales.

La maltraitance psychologique pendant la grossesse et après l’accouchement n’est pas rare. Il est important de détecter et d’accompagner les mères exposées.

Une consommation d’alcool élevée associée à un surpoids accroît considérablement le risque de souffrir d’une atteinte hépatique grave.

La consommation (modérée) d’alcool peut présenter un intérêt dans la prévention de la démence. A certaines conditions toutefois.

La consommation d’alcool peut provoquer un curieux phénomène : les autres deviennent beaucoup plus attirants – sexuellement - qu’ils ne le seraient autrement.

Des chercheurs britanniques ont identifié une variation génétique qui favorise le « binge drinking » chez les adolescents.

Le cerveau du jeune adolescent est en pleine maturation : quelques épisodes d’abus d’alcool pourraient suffire à déclencher un phénomène d’addiction.

La répulsion peut très vite se transformer en désir irrésistible, un processus qui intervient dans le phénomène d’addiction.

L’insomnie est identifiée comme un facteur de risque de suicide. La personne est entraînée dans une spirale infernale.

La consommation abusive d’alcool et la dépendance aux drogues (douces ou dures) nuit sévèrement et durablement à la santé sexuelle.

Les chercheurs s’intéressent de très près à certains composés de la bière, qui pourraient intégrer de nouveaux médicaments.

La consommation abusive d’alcool et la dépression sont liées dans bien des cas. Mais qu’est-ce qui déclenche quoi ?

Les personnes sujettes aux maux de tête s’exposent à un risque (sensiblement) accru de souffrir d’une crise lors d’un orage.

Si elle peut favoriser l’endormissement, la consommation d’alcool risque de perturber sérieusement la qualité du sommeil.

Les mécanismes de la gueule de bois (ou veisalgie) ne sont pas complètement élucidés. Mais une chose paraît sûre : fumer lorsqu’on boit de l’alcool complique tout.