Après une consommation excessive d’alcool, le fait de redescendre à une alcoolémie « zéro » n’est pas suffisant pour recouvrer la pleine possession de ses moyens.
Le phénomène du binge drinking – boire beaucoup d’alcool en un court laps de temps – ne concerne pas que les jeunes. Et chez les plus âgés, ce comportement accentue les risques de démence sénile.
Depuis ce 1er juillet, toutes les voitures et deux roues de plus de 50 cm³ qui circulent sur le territoire français doivent être équipés d'un éthylotest.
Les femmes qui consomment un verre d’alcool chaque jour présentent un risque réduit de 20% de souffrir d’un AVC. Mais attention : deux, c’est déjà trop.
Dans les mois qui ont suivi la fusillade au collège Dawson (Montréal), un nombre important d’étudiants sont devenus dépendants à l’alcool et à la drogue.
Le premier verre d’alcool déclenche l’envie d’en boire un second, puis un troisième, et ainsi de suite : pourquoi cet emballement chez les gros consommateurs ?
Une étude britannique a établi un constat dramatique : les personnes sans abri voient leur espérance de vie réduite de trente ans par rapport à la population générale.
L’activité cérébrale des personnes alcooliques se traduit par des ondes très particulières, également observées chez leurs enfants. La sensibilité à l’alcoolisme repose-t-elle sur une composante héréditaire ?
Il n’y a pas que la quantité d’alcool ingérée qui compte, mais aussi la fréquence : des experts britanniques estiment que les recommandations, dans ce domaine, doivent évoluer.