Une mère sur sept souffre de dépression après l’accouchement (post-partum), avec une proportion importante de troubles bipolaires.

Une consommation d’alcool élevée associée à un surpoids accroît considérablement le risque de souffrir d’une atteinte hépatique grave.

Pendant leur pic de fertilité, les femmes sont plus sensibles aux odeurs des hommes affichant les taux les plus élevés de testostérone.

Les compétences en mathématiques, et plus globalement en sciences, sont identiques entre les garçons et les filles. Mais celles-ci se sous-estiment.

Voici quelques idées de cadeaux bien-être, beauté, diététiques, de cuisine saine ou de loisirs pour gâter les mamans à l'occasion de la fête des Mères.

Une association a été établie entre les apports en fer d’origine végétale et l’intensité des manifestations du syndrome prémenstruel.

Une proportion importante des messieurs en excès de poids a tendance à s’estimer plus mince, alors que les dames vont plutôt se considérer plus lourdes qu’elles ne le sont en réalité.

Une nouvelle étude indique que les parents, et singulièrement la maman, doivent résister à l’envie de réconforter un bébé qui se réveille en pleurs.

Les fumeuses, même modérées, s’exposent à un risque considérablement accru de mort subite cardiaque.

Plus petit, mais plus efficace : le cerveau des femmes, et en tout cas la région des fonctions supérieures, travaille mieux que celui des hommes.

Les femmes parlent plus que les hommes : ce n’est pas une impression, ni un lieu commun, mais un fait établi. Et cette particularité tient à une protéine cérébrale.

Plutôt que se braquer sur la manière dont les autres les perçoivent, les femmes à l’écoute de leur corps sont aussi celles qui se sentent le mieux dans leur peau.

Les femmes souffrant de migraine avec aura s’exposent à un risque relatif trois plus élevé de souffrir d’un accident cardiaque ou cérébral.

Les préjugés, les stéréotypes sont tenaces. Pourtant, à l’analyse, il n’existerait pas autant de différences que cela, en termes de traits de personnalité, entre les hommes et les femmes.

Si la chimie de la séduction et de l’amour recèle une grande part de mystère, certains critères semblent prédominants.

Les jeunes filles qui connaissent une puberté précoce s’exposent à un risque sensiblement accru de développer un diabète plus tard dans l’existence.

Les femmes ménopausées sont plus sensibles aux infections urinaires. La composante hormonale entre en jeu.

De nombreux facteurs interviennent dans l'équilibre d’un couple, en le confortant ou en le mettant à mal.

Etonnante observation : un avatar féminin sur deux est à moitié dénudé.

La libération d’ocytocine lors de l’orgasme féminin présenterait d’intéressantes propriétés contre la dépression.

Le sentiment de culpabilité accroît la sensation de plaisir lorsqu’on déguste un aliment que l’on sait peu diététique.

L’âge de la ménopause de la maman influence la fertilité de sa fille.

Le diabète, connu comme facteur de risque de dysfonction érectile, influe négativement sur la satisfaction sexuelle des femmes.

Des apports quotidiens élevés en fruits et en légumes réduisent le risque de crise cardiaque.

Les dysfonctions sexuelles féminines sont beaucoup moins évoquées que celles qui affectent les hommes. Pourtant, elles sont fréquentes et les souffrances sont réelles.

Il est classique d’associer le syndrome prémenstruel à des troubles de l’humeur. Pourtant, le lien ne semble pas aussi évident, et en tout cas pas aussi exclusif que cela.

Si les crises sont extrêmement douloureuses, la migraine ne semble cependant pas affecter les facultés cérébrales sur le long terme.

La vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) n’induit pas davantage de comportements sexuels à risque chez les jeunes filles.

La ménopause précoce est associée à un risque notablement accru d’infarctus et d’accident vasculaire cérébral (AVC).

Les patients présentant un psoriasis, et encore davantage s’ils sont atteints de rhumatisme psoriasique, s’exposent à un risque sensiblement accru de souffrir de la maladie de Crohn.