Les consommateurs modérés d’alcool, et en particulier de vin, semblent - relativement ! - protégés contre les troubles cardiovasculaires. Mais mangent-ils aussi différemment, ceci expliquant alors en partie cela ?
Il n'existe pas de solution miracle pour éviter de souffrir d'une gueule de bois. Toutefois, il est possible de soulager les effets d'une consommation excessive d'alcool.
Des chercheurs américains ont mis en évidence une association entre la consommation d’alcool avant la première grossesse et le risque de développer un cancer du sein.
La plupart des études sur les racines de l’addiction à l’alcool s’intéressent aux comportements à l’adolescence. Ces recherches-ci remontent bien plus loin.
La consommation d’alcool peut provoquer un curieux phénomène : les autres deviennent beaucoup plus attirants – sexuellement - qu’ils ne le seraient autrement.
Les mécanismes de la gueule de bois (ou veisalgie) ne sont pas complètement élucidés. Mais une chose paraît sûre : fumer lorsqu’on boit de l’alcool complique tout.
Après une consommation excessive d’alcool, le fait de redescendre à une alcoolémie « zéro » n’est pas suffisant pour recouvrer la pleine possession de ses moyens.
Les femmes qui allaitent ne devraient pas boire d'alcool. Quels sont les dangers pour le bébé ? Et le cas échéant, combien de temps faut-il attendre pour donner le sein après avoir consommé une boisson alcoolisée ? Le point.
Le phénomène du binge drinking – boire beaucoup d’alcool en un court laps de temps – ne concerne pas que les jeunes. Et chez les plus âgés, ce comportement accentue les risques de démence sénile.
Les femmes qui consomment un verre d’alcool chaque jour présentent un risque réduit de 20% de souffrir d’un AVC. Mais attention : deux, c’est déjà trop.