Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l'homme de plus de 55 ans, après le cancer du côlon. C'est une maladie qui peut être bien soignée si elle est prise à temps, lorsque la tumeur est encore localisée dans l'organe.
Le dépistage précoce est donc essentiel. Il repose sur le test PSA (antigène prostatique) et le toucher rectal. Pendant son développement initial, le cancer de la prostate ne manifeste souvent aucun symptôme (même urinaire).
En Belgique, environ 8200 nouveaux cas de cancer de la prostate sont répertoriés chaque année. Environ trois quarts des patients ont plus de 65 ans. Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l’homme. Que faut-il savoir ?
Le café à l’italienne, l’expresso ou « espresso », pourrait réduire… de moitié le risque de souffrir d’un cancer de la prostate : trois tasses par jour, c’est un bon rythme.
La consommation quotidienne de café semble exercer un certain effet protecteur contre le risque de développer un cancer de la prostate, en particulier de forme agressive.
Testicules, vessie, prostate, pénis… : la consommation de cannabis augmente-t-elle le risque de développer un cancer de l’appareil uro-génital ? Pour certains types de tumeurs, une association est fortement suspectée.
L’hémospermie (ou hématospermie) qualifie la présence de sang dans le sperme. Cette situation fait craindre le pire, mais elle ne présente pas de caractère de gravité dans la plupart des cas. Quelles en sont les causes et quand faut-il consulter un médecin ?
Le traitement par ultrasons du cancer de la prostate pourrait constituer une alternative sûre et efficace aux approches classiques. Une nouvelle étude tend à confirmer tout son intérêt.
Le traitement du cancer de la prostate (chirurgie, radiothérapie ou chimiothérapie) expose le patient à des effets très lourds sur la qualité de vie, en particulier sur la fonction sexuelle et urinaire, avec une fatigue importante.
Le test PSA (antigène prostatique) a longtemps été considéré comme un outil de référence pour la détection du cancer de la prostate. Son intérêt est aujourd’hui très controversé. Voici de nouveaux éléments.
En Belgique, environ 8200 nouveaux cas de cancer de la prostate sont répertoriés chaque année. Environ trois quarts des patients ont plus de 65 ans. Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l’homme. Que faut-il savoir ?
Fréquence des rapports sexuels, nombre de partenaires, âge des premières relations sexuelles : ces paramètres pourraient jouer un rôle dans le risque de développer un cancer de la prostate.
Le test PSA (antigène prostatique) est-il réellement efficace, en l’absence de symptôme d’alerte d’un cancer de la prostate ? En d’autres termes, un dépistage systématique a-t-il du sens ?
Le moment du dîner (souper) et l’intervalle entre le dernier repas de la journée et l’heure du coucher influenceraient le risque de cancer du sein et de la prostate.
En cas de cancer la prostate à faible risque, plusieurs options de traitement sont envisageables : chirurgie, radiothérapie ou surveillance active. Les effets sur la fonction érectile sont très différents.
La pratique du yoga améliore la qualité de vie des patients souffrant d’un cancer de la prostate, et en particulier ceux traités par radiothérapie. Les fonctions sexuelles et urinaires sont mieux préservées.
L’ablation de la prostate (prostatectomie) constitue un recours majeur en cas de cancer. Les conséquences pour la fonction urinaire et érectile peuvent être sévères, avec un impact psychologique très important.
L’ablation de la prostate (prostatectomie radicale) entraîne souvent des problèmes urinaires (incontinence) et sexuels (impuissance). Mais la situation peut évoluer favorablement avec le temps.
La vasectomie est une méthode de stérilisation masculine à laquelle recourt une proportion croissante d’hommes. Augmente-t-elle le risque de cancer de la prostate ?
Le café à l’italienne, l’expresso ou « espresso », pourrait réduire… de moitié le risque de souffrir d’un cancer de la prostate : trois tasses par jour, c’est un bon rythme.
Dans le cas d’un cancer de la prostate localisé, la surveillance active confirme son intérêt par rapport aux traitements comme la prostatectomie ou la radiothérapie.
Tous les patients ne répondent pas de la même manière à la prise en charge du cancer de la prostate : les caractéristiques génétiques joueraient un rôle clé.
En cas de cancer de la prostate à faible risque, la surveillance active assure une meilleure qualité de vie, en particulier en termes de fonction urinaire et sexuelle.
La consommation de viande rouge intervient-elle dans le risque de développer un cancer prostatique ? La question est souvent posée, la réponse semble négative.
Le tabagisme représente un risque majeur de rechute après le traitement d’un cancer de la prostate : arrêter de fumer suffisamment tôt limite fortement le danger.
Une étude réalisée voici quelques années affirmait que les éjaculations fréquentes protégeaient contre le cancer de la prostate : les mêmes chercheurs confirment.