L'alcoolisme est défini comme la consommation régulière excessive et nocive d'alcool, entraînant des dommages physiques, psychologiques, sociaux et/ou affectifs. On parle aussi d'addiction ou de dépendance à l'alcool.
L’addiction est le moment où une substance procurant du plaisir envahit la vie d’un individu, au point qu’il perd sa liberté d’action. Les addictions se mettent en place à l’adolescence et nous sommes inégaux face à elles.
Quelque 80% des adultes belges consomment de l’alcool, 51% boivent plus de 11 verres par semaine. Ne plus boire d'alcool s’avère souvent plus difficile qu'on le croit, mais les avantages sont bien réels.
Les personnalités timides ont tendance à ressentir une forte anxiété après avoir consommé une quantité élevée d’alcool. En plus, elles sont tentées de boire pour apaiser cette anxiété. Un cercle vicieux se dessine.
Voici une méthode fréquemment utilisée et très simple à réaliser pour savoir si vous avez un problème lié à l'alcool. Il s'agit d'une liste de questions élaborée par le médecin américain John Ewing.
La consommation excessive d’alcool (à partir de six verres par jour pour les hommes et quatre pour les femmes) augmente considérablement le risque de démence précoce.
Consommation totale d’alcool, consommation problématique, méfaits : sur ces trois points, il n’existe plus aujourd’hui qu’une faible différence entre les hommes et les femmes.
Vous buvez régulièrement de l'alcool et vous vous posez des questions sur votre consommation ? Le site belge Aide Alcool propose des solutions pour informer et accompagner les personnes confrontées à ce problème, ou qui craignent qu'il se développe.
Les hospitalisations pour intoxication alcoolique devraient être exploitées pour aborder le problème de fond : ce n’est pas suffisamment le cas, loin s’en faut.
Une large majorité des personnes présentant un problème d’alcool n’en discutent pas avec un médecin, et par conséquent la prise en charge est loin d’être satisfaisante.
Dans certains cas, une prédisposition génétique favoriserait le comportement criminel. Cela ne suffit cependant pas à expliquer le passage à l’acte qui dépend de bien d’autres facteurs.
En cas de dépendance, l’arrêt de l’alcool est considéré par beaucoup comme la seule option vraiment crédible. Toutefois, la réduction de la consommation apparaît de plus en plus comme une alternative possible.
La consommation de trois verres d’alcool ou davantage chaque jour accélère le déclin de fonctions cérébrales importantes, comme le raisonnement et la mémoire.
Des chercheurs américains ont mis en évidence une association entre la consommation d’alcool avant la première grossesse et le risque de développer un cancer du sein.
La plupart des études sur les racines de l’addiction à l’alcool s’intéressent aux comportements à l’adolescence. Ces recherches-ci remontent bien plus loin.
Souvent, les termes qui qualifient l’état d’ébriété d’un homme ou d’une femme ne sont pas du tout les mêmes. Dans quelle mesure les mots ont-ils leur importance ?