Le frottis vaginal est l'examen de référence pour le dépistage du cancer du col de l'utérus. Le prélèvement permet d'identifier la présence de cellules suspectes. Que faut-il savoir sur ce test particulièrement important ?

Les papillomavirus humains (HPV) sont la cause majeure de cancer du col de l'utérus, qui affecte les femmes à un âge relativement jeune. Le virus se transmet par voie sexuelle et certaines situations favorisent le développement de la maladie.

Les femmes souffrant d’un trouble mental accèdent beaucoup moins que les autres au dépistage du cancer du sein par mammographie.

La capacité à se maintenir en équilibre sur une jambe pourrait constituer un signal de risque d’accident vasculaire cérébral (AVC).

Le fond d'oeil est un examen simple mais important destiné, comme son nom l'indique, à observer le fond des yeux. Il permet notamment de surveiller les complications oculaires d'une série de maladies comme le diabète et l'hypertension artérielle.

La consommation de myrtilles constitue un apport bénéfique contre l’hypertension artérielle. Un « plus » qui ne manque pas d’intérêt.

Le fonctionnement cérébral des patients schizophrènes montre des particularités qui pourraient aider à mieux expliquer les symptômes de la maladie.

L'ostéodensitométrie permet de mesurer la densité de l'os. C'est un examen de référence dans le diagnostic de la fragilisation osseuse, et en particulier de l'ostéoporose.

L’indice de masse corporelle (IMC) doit être interprété avec prudence lorsqu’il s’agit de déterminer si un enfant est en excès de poids.

Les techniques de réalité virtuelle pourraient contribuer à mieux évaluer le risque qu’un délinquant sexuel passe à nouveau à l’acte.

Lorsque le cancer du sein est détecté suffisamment tôt, les chances de guérison sont très élevées. Le dépistage revêt donc une importance cruciale.

L’imagerie par résonance magnétique (IRM) permet de voir des choses extraordinaires à l’intérieur de notre corps.

Une petite zone du cerveau, appelée l’habeluna, jouerait un rôle crucial dans le sentiment de crainte de ce qui pourrait arriver.

L’addiction sexuelle présente une série de points communs avec la toxicomanie, et notamment en ce qui concerne les réactions du cerveau.

La polyarthrite rhumatoïde est caractérisée par une inflammation chronique des articulations. Quels en sont les principaux symptômes et comment le diagnostic est-il posé?

L’action des champignons hallucinogènes provoque une sorte d’expansion de l’esprit, comme celle qui est observée lorsqu’une personne rêve.

La consommation de produits laitiers riches en probiotiques agit favorablement sur les paramètres de la pression artérielle.

Cinq questions simples permettent au patient de déceler les principaux signes d’alerte de la broncho-pneumopathie chronique obstructive (BPCO).

La pratique de l’aquagym agit très favorablement sur la pression artérielle, notamment lorsque le patient répond mal aux médicaments.

Les personnes hypertendues doivent surveiller de très près leur consommation de sel. Les épices constituent une excellente alternative.

L’indice de masse corporelle est une mesure évidemment intéressante, mais elle ne reflète pas de manière assez fine les risques pour la santé.

Qu'est-ce qui différencie un scanner et une résonance magnétique, les deux techniques d'imagerie médicale les plus souvent pratiquées ?

L’activité physique est fortement recommandée aux patients hypertendus, mais il n’est pas évident d’en déterminer l’intensité et la fréquence optimales.

Aucun matériel sophistiqué n’est nécessaire pour réaliser le test SAGE, destiné à évaluer les capacités cognitives et leur éventuel déclin.

En cas de pré-hypertension, la méditation de pleine conscience agit de manière favorable sur la pression artérielle et par conséquent prévient ou retarde le besoin de médicaments.

Les femmes fumeuses et hypertendues courent un risque extrêmement élevé d’être frappées par une hémorragie cérébrale.

Lorsqu’il est utilisé sur des patients à haut risque, le scanner à faible dose montre une bonne efficacité dans le dépistage du cancer pulmonaire.

Des chercheurs américains ont mis un point un appareil qui analyse les pleurs de l’enfant et qui pourrait devenir un outil de diagnostic.