Chaque année, en Belgique, quelque 300 enfants sont grièvement brûlés. Dans un cas sur cinq, la cause de l'accident est une température trop élevée de l'eau du bain ou de la douche. Voici les précautions à prendre.
S’il n’est pas concevable de parvenir à éliminer toutes les sources d’allergie respiratoire à la maison, il est cependant possible de limiter notablement les risques.
Les poils incarnés sont la hantise de nombreuses femmes avant et après l'épilation. Ces poils qui se recourbent et poussent sous la peau entraînent boutons, rougeurs et infections. Voici une série de conseils.
Des chercheurs américains ont démontré que les particules projetées lors de la toux et de l’éternuement vont bien plus loin que ce qui était estimé jusqu’à présent.
Les hommes qui vivent seuls représentent une cible spécifique pour le cancer de la peau, et en particulier le mélanome, parce qu’ils ne lui accordent pas suffisamment d’attention.
Lorsque les patients sont appelés à vérifier que les médecins respectent les consignes d’hygiène des mains, les praticiens veillent à ne pas être pris en défaut.
Si les mains sont bien identifiées comme des vecteurs majeurs de germes infectieux, c’est moins le cas des petits instruments médicaux et en particulier du stéthoscope.
Une utilisation imprudente des pinceaux à maquillage ou des éponges à fond de teint peut causer des irritations et des allergies. A quoi faut-il faire attention ?
Cuvette ou urinoir : lorsqu’un homme se soulage, le risque est grand que cela éclabousse partout. Il est important de maîtriser l’angle et la distance.
Les recommandations en matière d’hygiène bucco-dentaire s’adaptent aux réalités de la vie quotidienne : le brossage des dents deux fois par jour est satisfaisant.
Chaque année, on recense un nombre considérable d’intoxications liées à l’ingestion de champignons. Certaines précautions permettent de limiter drastiquement le danger.
La santé bucco-dentaire des athlètes de haut niveau, toutes disciplines confondues, laisse largement à désirer. Une observation à la fois étonnante et inquiétante.
Une association a été établie entre le risque de développer un cancer prostatique et le degré d’exposition à la pollution atmosphérique, en particulier le dioxyde d’azote.