Une association nette est établie entre la fréquence des bouffées de chaleur et les troubles de la mémoire à la ménopause.

Une phéromone sécrétée dans la sueur masculine pourrait jouer un rôle dans « l’esprit d’équipe » et inciter les sportifs à coopérer plus intensément.

En cas de surpoids, la tentation peut être grande de faire l’impasse sur le petit déjeuner pour « économiser » quelques calories. C’est une erreur.

Si le stress chronique peut causer des dommages sévères à l’organisme, des épisodes brefs semblent au contraire exercer un effet protecteur.

La consommation de stéroïdes anabolisants affecte la santé mentale des athlètes bien des années plus tard.

Bouffées de chaleur et sueurs nocturnes : ces deux effets indésirables très fréquents liés à la ménopause peuvent être (considérablement) limités par l’activité physique.

Des chercheurs américains ont mis au point une méthode permettant d’estimer la date des dernières règles et donc le moment où la femme entre en ménopause.

Pendant leur pic de fertilité, les femmes sont plus sensibles aux odeurs des hommes affichant les taux les plus élevés de testostérone.

Les cadres intermédiaires sont les plus exposés au stress professionnel. Chez le singe, la prise en tenaille est aussi une réalité.

L’idée vient des Etats-Unis : durant la période de (pré)examens, le fait de passer du temps avec des jeunes chiens permet d’aborder les échéances dans les meilleures conditions psychologiques.

L’huile d’olive est une composante majeure du régime méditerranéen, dont on connaît les bienfaits pour la santé. Il s’avère à présent qu’elle favorise aussi la sensation de satiété.

Les femmes ménopausées sont plus sensibles aux infections urinaires. La composante hormonale entre en jeu.

Les personnes confrontées à des comportements de rejet, notamment liés à la discrimination raciale, s’exposent à un risque cardiovasculaire accru.

Une alimentation riche en graisses favorise la parodontite, en activant le processus inflammatoire.

Une augmentation du taux de testostérone – l’hormone mâle – induit un comportement plus honnête.

Les jeunes obèses accusent un déficit important en testostérone, ce qui ne va pas sans risques pour le fonctionnement sexuel.

La période du cycle menstruel agit notablement sur la relation de couple, et plus particulièrement sur l’attraction ressentie par la femme pour son partenaire.

Pourquoi certains individus sont-ils plus facilement hypnotisables que d’autres ? Et pour quelle raison ces derniers se montrent-ils plus réfractaires ?

« Hug », accolade, étreinte… : plutôt que de se serrer la main ou se donner un bisou furtif, enlaçons-nous, c’est excellent pour la santé !

La réaction aux situations de stress varie considérablement d’un individu à l’autre. Les risques pour la santé aussi.

Rallonger le temps de sommeil des petits dormeurs permettrait de limiter la prise de poids.

Il est classique d’associer le syndrome prémenstruel à des troubles de l’humeur. Pourtant, le lien ne semble pas aussi évident, et en tout cas pas aussi exclusif que cela.

On dit souvent que l'andropause est à l'homme ce que la ménopause est à la femme. A partir de la cinquantaine, les hommes peuvent accuser une baisse de la production de testostérone. Par quels signes cela se manifeste-t-il ?

Une alimentation riche en choline pendant la grossesse influe positivement sur les niveaux de stress du nourrisson.

L’obésité abdominale est associée à un risque (nettement) accru de présenter des troubles urinaires et/ou une dysfonction érectile.

Ce test s’adresse aux femmes qui présentent des symptômes et des inconforts qui pourraient laisser supposer qu’elles sont en période de (pré)ménopause.

Un régime méditerranéen (encore plus) riche en huile d’olive contribue à la santé osseuse.

Dans une situation stressante, sourire (même en se forçant) s’accompagne de réels bienfaits.

Il n'existe pas une cause exclusive à la démence. Les spécialistes épinglent plusieurs facteurs de risque.