Il paraît assez évident que la probabilité que la fumée de cigarette cause des dommages sérieux à l’organisme est nettement plus élevée pour un gros fumeur que pour le non fumeur qui se retrouve, à l’occasion, dans un environnement enfumé.
Une étude réalisée à l’Université de Montréal, et publiée par la Revue canadienne de pneumologie, suggère que le recours aux thérapies alternatives pour traiter l’asthme des enfants s’accompagne d’un taux deux fois plus élevé de mauvais contrôle de la maladie.
Les personnes en surpoids sont davantage touchées par l’asthme d’effort. C’est ce qui ressort d’une étude conduite à l’Université Concordia (Québec), qui établit un lien très clair entre l’obésité et les crises d’asthme engendrées par l’activité physique.
Certaines études d’observation ont suggéré que l’utilisation de paracétamol pendant les premières années de vie pouvait être associée à l’apparition, durant l’enfance, d’asthme, d’eczéma ou de rhino-conjonctivite.