Comportement marqué par une envie irrépressible et répétée (tabac, alcool, drogue, jeu...), malgré la prise de conscience d'un risque majeur pour l'intégrité physique et mentale, pour la vie familiale, professionnelle et/ou sociale.
Beaucoup de fumeurs utilisent la cigarette électronique pour diminuer la consommation de cigarettes classiques, mais ils n’ont cependant pas abandonné le tabac. Cet usage mixte est loin d’être idéal.
L’exercice physique est très sain, sauf lorsqu'il devient une obsession. On parle de bigorexie. lorsqu’une personne, dans la plupart des cas des hommes jeunes, fait travailler sa masse musculaire et son endurance de manière compulsive et frénétique. Ce comportement peut entraîner de graves problèmes physiques et mentaux et bouleverser l'existence.
Les comportements d’addiction ont sensiblement évolué parmi les adolescents au cours des dernières années. Ainsi, alors que le tabagisme décroît régulièrement, la fréquentation des réseaux sociaux explose.
L’utilisation de l’e-cigarette présente un réel intérêt pour ceux qui veulent arrêter de fumer, et son efficacité est supérieure aux autres méthodes de sevrage tabagique.
L’addiction est le moment où une substance procurant du plaisir envahit la vie d’un individu, au point qu’il perd sa liberté d’action. Les addictions se mettent en place à l’adolescence et nous sommes inégaux face à elles.
L’addiction au smartphone porte un nom : la nomophobie. Certaines personnalités sont plus à risque de développer ce trouble anxieux. Quelles sont leurs caractéristiques ?
Le cannabis contient une molécule extrêmement nocive qui entraîne perte de mémoire, de motivation et risque de dépression, particulièrement chez les personnes les plus jeunes.
Quelle est la drogue la plus néfaste, pour soi et pour les autres ? Un groupe d’experts s’est penché sur la question, et ses conclusions donnent à réfléchir.
L’administration abusive d’antidouleurs opioïdes après une intervention chirurgicale peut conduire à une dépendance à long terme, avec des conséquences catastrophiques.
Patch, gomme à mâcher, losange (pastille) : les substituts nicotiniques se présentent sous différents modes de délivrance et à des dosages divers de nicotine. Comment augmenter leur efficacité pour arrêter de fumer ?
Ce n’est pas l’idéal, loin s’en faut, mais fumer moins de cigarettes permet de réduire le risque de mortalité prématurée. L’arrêt du tabagisme à un âge pas trop avancé doit cependant rester l’objectif prioritaire.
La cigarette électronique, ou e-cigarette, est associée à un taux de sevrage tabagique largement supérieur à celui des substituts nicotiniques. Mais tout n’est pas rose non plus.
Les personnes timides ont tendance à ressentir une forte anxiété après avoir consommé une quantité élevée d’alcool. En plus, elles sont tentées de boire pour apaiser cette anxiété. Un cercle vicieux se dessine.
Une proportion significative des fumeurs de cigarettes manufacturées est passée au tabac à rouler. Dans ce cas, arrêter de fumer devient encore plus difficile.
Le sevrage tabagique est une véritable épreuve. Elle pourrait être rendue encore plus difficile par une mutation génétique qui concerne une proportion importante de la population.
Ce test donnera aux fumeurs une précieuse indication sur leur degré de dépendance physique à la nicotine et devrait inciter à se tourner vers un médecin généraliste ou vers un tabacologue.
Trop souvent, les fumeurs plus âgés pensent que cela ne vaut plus la peine d'arrêter. Ils pensent que le mal est fait. Bien sûr, il est préférable d'arrêter de fumer à un âge jeune, mais l'arrêt est bénéfique même à 50 ou 60 ans.
Les fumeuses s’exposent à un risque sensiblement plus élevé de connaître une ménopause prématurée (avant l’âge de 45 ans). La durée du tabagisme et la quantité de cigarettes jouent un rôle important.
Si la cigarette électronique se substituait ne fût-ce qu'en partie à la cigarette classique, les décès associés au tabac diminueraient dans des proportions considérables.
Le sevrage tabagique n’est pas une mince affaire : un programme baptisé « Run to Quit » (courir pour arrêter) semble donner d’excellents résultats. Chaque fumeur peut l’adapter à sa manière.
Le débat divise le corps médical et les autorités : la cigarette électronique aide-t-elle au sevrage tabagique ? La réponse paraît de plus en plus positive.
La cigarette électronique peut-elle tenter les non-fumeurs, avec un risque de passage vers le tabagisme ? La question est souvent posée, en particulier concernant les jeunes.
L’usage du cannabis à l’adolescence augmente considérablement le risque d’autres dépendances chez le jeune adulte : la marijuana est une porte d’entrée majeure vers l’addiction.
La consommation excessive de pornographie peut beaucoup nuire à la libido et à l’érection. Le problème, c’est que le cerveau en redemande : le processus de sevrage n’est pas simple.
Le cannabis pour se détendre, pour combattre le stress ? Peut-être, mais attention aux doses : un peu trop, et c’est l’anxiété qui risque de prendre le dessus.
Lorsque la consommation de cannabis débute à un âge jeune, le parcours scolaire peut être fortement pénalisé : or, de plus en plus d’adolescents s’y mettent tôt.
La femme fumeuse qui diminue sa consommation de cigarettes alors qu’elle est enceinte pense souvent que cela réduit les risques pour le fœtus : il n’en est rien en ce qui concerne le poids à la naissance.