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Vivre centenaire ? Bof, bof…
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La moitié des Européens, à peine, souhaitent vivre très, très vieux, c’est-à-dire au-delà de cent ans.
C’est le résultat le plus marquant d’une enquête réalisée auprès de quelque 2.500 personnes, âgées de plus de 18 ans, et baptisée « Les Européens et la longévité ». En affinant, on observe une différence importante entre le nord et le sud du continent, puisque les Méditerranéens sont ceux qui aspirent le plus à vivre (très) vieux.
Globalement, nous nous accordons à considérer que nous vivrons plus longtemps que nos parents, et nous misons sur une espérance de vie « probable » de 84 ans. La vieillesse est perçue, pour la majorité, comme « un moment pouvant être heureux, mais pas toujours ». Ni trop optimistes, ni trop pessimistes donc. Six Européens sur dix estiment que pour être heureux lorsqu’on vieillit, il est important de rester autonome, de continuer à vivre à la maison. Un tiers des répondants considèrent que la clé réside dans le fait d’être à l’aise financièrement, sans devoir dépendre de ses enfants.
Assez curieusement, la moitié des Européens seulement affirment qu’il est essentiel de conserver toutes ses facultés intellectuelles (sans doute considèrent-ils qu’une érosion « naturelle », mais non invalidante, est acceptable). Enfin, la plupart voient dans une bonne hygiène de vie le fondement d’une vieillesse paisible.