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Luminothérapie : par où commencer ?
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Lorsque la luminosité naturelle diminue, des troubles de l’humeur peuvent apparaître. Cette dépression saisonnière (ou dépression hivernale) peut être traitée par la luminothérapie, pour autant qu’elle réponde à certains critères.
Les symptômes peuvent aller d’une simple déprime (un « coup de blues ») à un véritable syndrome dépressif. Manque d’énergie, perte d’intérêt, repli sur soi, libido en berne, irritabilité… : il est difficile d’estimer la proportion de personnes qui présentent ces manifestations. Ce qui paraît évident, c’est que beaucoup en souffrent, et pour certaines de manière très sévère.
Le traitement classique repose sur la luminothérapie, c’est-à-dire l’exposition du visage à une source lumineuse artificielle (par séances standards d’une demi-heure chaque jour). Le magazine français 60 millions de consommateurs a diffusé trois conseils majeurs destinés à aborder cette thérapie dans les meilleures conditions.
• Il faut consulter un médecin. Pour confirmer le diagnostic, bien entendu, mais aussi pour s’assurer qu’il n’existe pas de contre-indication liée à un problème oculaire et afin d’organiser le rythme des séances de la manière la plus efficace (temps d’exposition, moment de la journée…).
• La luminothérapie est un traitement spécifique, qui n’a rien à voir – par exemple – avec les simulateurs d’aube (qui font office de réveil, sans effet thérapeutique).
• La lampe doit être choisie avec soin : à la lumière blanche et avec une puissance minimale de 5.000 lux, idéalement de 10.000 lux. Pour ceux qui en ont les moyens, les panneaux lumineux (minimum 30 cm x 20 cm) permettent une exposition optimale.