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Problème de santé ? Dites-le avec un tatouage !
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Aux Etats-Unis, de plus en plus de patients se font tatouer des informations sur leur état de santé, dont les services de secours pourront prendre connaissance si la personne est inconsciente.
Ce phénomène a récemment fait l’objet d’une série d’articles dans la presse américaine. Elle cite ainsi que le cas du Dr Ed Friedlander, un médecin de Kansas City, qui porte sur le torse un tatouage indiquant « No CPR », que l’on traduit par « Pas de réanimation cardio-pulmonaire ». Agé de 60 ans, il fait ainsi état du souhait de ne pas vouloir bénéficier d’une intervention de ce type en cas d’arrêt cardiaque. Une consigne qui ne semble pas avoir de valeur légale, de force contraignante pour les secouristes ; encore que considérant les particularités du système judiciaire aux Etats-Unis, si plainte d’un… ressuscité il devait y avoir, on ne sait pas trop sur quoi elle déboucherait.
Dans une perspective plus « positive », on retiendra le cas de cette dame d’une trentaine d’années, qui s’est fait tatouer sur le bras gauche un symbole informant qu’elle est diabétique de type 1, mais aussi allergique à la pénicilline et à l’acide acétylsalicylique (aspirine).
Les médias américains soulignent que la pratique se popularise, et que le corps médical devrait y porter attention, afin de l’encadrer. Un endocrinologue, attaché à l’université du Michigan, considère d’ailleurs que les tatouages à caractère médical devraient faire l’objet de directives émises par les instances professionnelles.