Fumer alors que vous portez un patch anti-tabac est dangereux car cela peut provoquer un sérieux surdosage en nicotine avec un risque cardiovasculaire important.
Une étude britannique a établi un constat dramatique : les personnes sans abri voient leur espérance de vie réduite de trente ans par rapport à la population générale.
L’activité cérébrale des personnes alcooliques se traduit par des ondes très particulières, également observées chez leurs enfants. La sensibilité à l’alcoolisme repose-t-elle sur une composante héréditaire ?
Griller sa cigarette dans une voiture revient à exposer les autres à un taux de substances nocives… vingt-cinq fois plus élevé que dans un local enfumé !
Il n’y a pas que la quantité d’alcool ingérée qui compte, mais aussi la fréquence : des experts britanniques estiment que les recommandations, dans ce domaine, doivent évoluer.
La consommation d’alcool n’affecte pas la conscience de commettre des erreurs, mais réduit notablement l’intensité avec laquelle nous nous en inquiétons.
Les femmes qui fument s’exposent à un risque accru de 25% de souffrir d’une maladie cardiaque par rapport aux hommes fumeurs. Pourquoi ? La réponse n’est pas claire.
Une étude américaine démontre que le bronzage artificiel déclenche des réactions dans le cerveau similaires à celles observées chez les sujets dépendants à la drogue.
Les résultats d’une enquête française apportent des renseignements intéressants sur le phénomène du grignotage, et en particulier sur les différences entre hommes et femmes.
Les ongles des orteils pourraient devenir un indicateur simple permettant de détecter le degré d’exposition à la nicotine, et dès lors le risque de cancer du poumon.
Une étude américaine insiste sur le fait que la consommation de boissons énergisantes, particulièrement appréciées par les jeunes, présente des risques dont la nature et l’intensité sont encore largement méconnues.