Une nouvelle étude affirme qu’il n’existe pas de lien de cause à effet entre l’utilisation de la pilule contraceptive et la prise de poids… chez le singe.

Les larmes des femmes contiendraient des phéromones qui déclenchent une diminution de leur capacité de séduction auprès du partenaire masculin, ainsi qu’une baisse de l’attirance sexuelle.

Des chercheurs ont comparé la prévalence et la localisation des fractures chez les femmes ménopausées, selon qu’elles soient ou non obèses (IMC supérieur à 30).

L’obésité, déjà identifiée comme facteur de risque cardiovasculaire et de développement du diabète (de type 2), pourrait favoriser l’émergence du cancer du sein.

Une étude s’est intéressée au lien possible entre un traitement d’orthodontie chez les adolescents et le développement d’une allergie au nickel.

L’interruption volontaire de grossesse (IVG) ne causerait pas de problème psychiatrique majeur chez la femme adulte.

On évoque souvent le rôle d’une carence en fer dans l’apparition de l’alopécie chez la femme. De nouvelles recherches montrent qu’il ne s’agit pas de la bonne explication.

Les jeunes filles souffrant de migraine s’exposent à un risque accru d’obésité à l’âge adulte, alors que l’excès de poids s’accompagne d’une fréquence nettement plus élevée de maux de tête.

Une équipe de chercheurs anglais et néerlandais s’est intéressée à notre capacité à décrypter les émotions des autres, en interprétant leurs expressions physiques. Résultat : les taux de testostérone jouent un rôle crucial.

Les modifications hormonales en pré-ménopause mais surtout en période de ménopause et après sont assez importantes.

L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) s’est penchée sur un phénomène qui prend de l’ampleur depuis quelques années : le tabagisme chez les femmes.

Les femmes pensent encore trop souvent qu’une douche vaginale est le meilleur moyen d’avoir une bonne hygiène intime et de lutter contre quelques odeurs désagréables.

Les femmes qui consomment beaucoup de légumes, et en particulier d’importantes quantités d’ail et d’oignons, courent nettement moins de risques de souffrir d’arthrose aux articulations de la hanche.

Le cerveau des femmes bouillonne en permanence, alors que les hommes coupent périodiquement l’interrupteur pour s’accorder un peu de repos.

On se souviendra du tremblement de terre et du vent de panique qu’avait provoqué la publication, en 2002, d’une étude américaine établissant un lien entre l’administration d’un traitement hormonal de substitution (THS) aux femmes ménopausées et un risque accru de développement du cancer du sein.