Une femme de type européen sur trois aurait hérité d'une variante génétique de l'Homme de Néandertal (Néandertaliens), avec alors un effet protecteur pour la femme enceinte, moins susceptible de connaître une fausse couche et des saignements en début de grossesse.
La statut d'un enfant mort-né, ainsi que les droits et les obligations pour les parents, sont complètement différents selon le temps de gestation, c'est-à-dire si la grossesse a duré moins ou plus de six mois (180 jours). Que dit la législation en Belgique ?
Les antécédents d’exposition au stress augmentent sensiblement le risque d’avortement spontané : une évaluation psychologique de la femme enceinte serait très utile pour mieux l’accompagner pendant la grossesse.
Après une fausse couche, la femme doit-elle attendre au moins six mois, comme le préconisent les recommandations, avant d’être à nouveau enceinte, augmentant ainsi les chances de mener sa grossesse à terme ?
La fausse couche (« avortement spontané ») survient généralement à un stade précoce de la grossesse. Les conséquences psychologiques sont bien réelles pour beaucoup de femmes.
La grossesse n'est évidemment pas une contre-indication pour voyager. Cependant, il est nécessaire de tenir compte de certains risques et limitations spécifiques à la femme enceinte.
Une recommandation assez classique veut qu’après une fausse couche, une femme attende plusieurs mois (entre trois et six) avant d’envisager une nouvelle grossesse. Mais est-ce nécessaire ?
En raison de la recrudescence des cas de rougeole aux Pays-Bas, les Belges qui habitent la région frontalière ou les personnes qui se rendent dans les provinces touchées doivent impérativement être vaccinés.
Les petits-fils des femmes qui ont été traitées au Distilbène présentent un risque quarante à cinquante fois plus élevé de souffrir d’une malformation de la verge.
Les fausses couches à répétition peuvent multiplier par cinq le risque de subir par la suite une attaque cardiaque, selon une étude publiée par la revue médicale spécialisée « Heart ».
Chez les femmes enceintes ayant connu plusieurs fausses couches, un traitement anti-thrombotique est parfois instauré dans l’espoir de diminuer le risque d’en subir à nouveau.