Selon les causes de l'impossibilité à aboutir à une grossesse, différentes techniques peuvent aider les couples confrontés à un trouble de la fertilité : on parle de procréation médicalement assistée (PMA).
La VUB et l'UZ Brussel ont mis au point une alternative à la fécondation in vitro : CAPA-IVM. Cette nouvelle technique, beaucoup moins coûteuse que le traitement hormonal classique, en élimine aussi les effets secondaires. Deux bébés belges sont déjà nés via CAPA-IVM.
Les troubles de la fertilité peuvent mettre une relation à rude épreuve. Les différents examens et traitements, l'absence de grossesse et le rôle parental qui ne peut être rempli ont un impact sur différents aspects de la vie. Comment pouvez-vous y faire face ?
Née à la suite d’une greffe d’utérus, elle est le fruit d’une transmission mère - fille. Une grande première médicale qui rend l’espoir à de nombreuses femmes.
Le message : ne pas se décourager. Si la fécondation in vitro (FIV) peut être couronnée de succès dès le premier cycle, un ou plusieurs échecs ne doivent pas laisser penser que tout est perdu.
La stérilisation féminine est une méthode de contraception définitive par principe et donc demandée par la femme qui n'est pas ou plus en quête de maternité. Que faut-il savoir sur cette intervention ?
L’adoption après des tentatives infructueuses de fécondation in vitro (FIV) assure aux parents un degré de bien-être psychologique particulièrement élevé.
Le nombre d’embryons transférés lors d’une fécondation in vitro (FIV) est limité afin de prévenir les grossesses multiples, et les risques qui lui sont associés. Quel schéma adopter ?
La méthode de contraception NFP (pour « natural family planning ») est souvent décriée. Le Centre belge d’information pharmacothérapeutique (CBIP) fait le point et considère qu’elle peut présenter un réel intérêt.
Le stress ou l’anxiété n’affectent pas les chances de réussite d’une fécondation in vitro, alors que de nombreuses femmes (et beaucoup de médecins) pensent le contraire.
Le taux de réussite de la fécondation in vitro (FIV) serait quasiment doublé grâce à une petite séance de rigolade juste après l’implantation de l’embryon dans l’utérus.
Contrairement aux ovules de la femme, la production de spermatozoïdes chez l’homme ne stoppe pas à un certain âge (comme à la ménopause chez la femme). Les hommes peuvent donc concevoir des enfants jusqu’à un âge avancé.
Lors d’un processus de fécondation in vitro (FIV), la logique « statistique » veut que l’implantation de plusieurs embryons augmente les chances de grossesse.