Dans une proportion très importante de cas, la mort subite reste apparemment inexpliquée, surtout lorsque la victime est jeune. Pourtant, une exploration plus poussée peut apporter des éléments de réponse.

La fibrillation auriculaire (FA) ou atriale est le plus fréquent des troubles du rythme cardiaque : le coeur bat de manière irrégulière et beaucoup trop forte. A quels symptômes faut-il faire attention ?

La perte du partenaire augmente considérablement le risque de fibrillation auriculaire (atriale) chez le veuf ou la veuve. Une surveillance est nécessaire.

Les patients souffrant de fibrillation auriculaire (ou atriale), le plus fréquent des troubles du rythme cardiaque, peuvent tirer un réel bénéfice de la pratique du yoga.

A long terme, la consommation quotidienne de caféine peut-elle avoir une influence négative sur le rythme cardiaque, avec un risque de tachycardie ?

Dans la moitié des cas, l’arrêt cardiaque est précédé de symptômes annonciateurs : il est vital d’en tenir compte et d’appeler immédiatement les secours.

Cancer, insuffisance cardiaque, arthrose, maladie respiratoire chronique… : le tai-chi-chuan agit de manière favorable sur le plan physique et psychologique.

La pratique intensive du sauna réduit les risques de souffrir d’un infarctus du myocarde ou d’insuffisance cardiaque.

La consommation très modérée d’alcool n’augmente pas le risque d’insuffisance cardiaque. Mais au-delà d'un verre par jour, attention danger.

En termes de prévention, de suivi et de prise en charge cardiovasculaire, il est important de bien connaître les différences de risque selon le sexe.

Dans une situation stressante, la réaction de l’organisme, et en particulier les paramètres cardiaques, n’est pas la même selon le sexe.

L’adoption d’un mode de vie sain, basé sur cinq points clés, permet de réduire dans des proportions considérables le risque d’infarctus du myocarde.

Les explosions de colère augmentent le risque d’infarctus, surtout si elles ont tendance à se multiplier.

Dans la majorité des cas, les conséquences d'un accident vasculaire cérébral (AVC) sont gravissimes. Une prise en charge rapide est vitale.

L’activité physique est fortement recommandée aux patients hypertendus, mais il n’est pas évident d’en déterminer l’intensité et la fréquence optimales.

Le lien entre la santé bucco-dentaire et celle des artères se confirme : ici, c’est de l’athérosclérose qu’il s’agit.

La pratique régulière du yoga semble améliorer les paramètres de la fibrillation auriculaire (FA), le trouble du rythme cardiaque le plus fréquent.

Les femmes fumeuses et hypertendues courent un risque extrêmement élevé d’être frappées par une hémorragie cérébrale.

Trop ou pas assez : lorsque la durée du sommeil s’éloigne des recommandations, les problèmes de santé se retrouvent en terrain favorable.

Une série de mesures préventives, appliquées au quotidien, peuvent permettre de diminuer les risques d'accident vasculaire cérébral.

Les patients insuffisants cardiaques doivent marcher le plus possible chaque jour : compter le nombre de pas est un indicateur important.

Les patients qui se plaignent d’une mauvaise santé à cause du stress doivent être écoutés très attentivement : il s’agit d’un indice important.

La sédentarité s’inscrit comme un facteur de risque majeur de maladie cardiovasculaire et de décès prématuré.

La musique comme outil thérapeutique ? Des spécialistes explorent en tout cas ce potentiel, qui pourrait déboucher sur des traitements spécifiques.

Le thé et le café protègent dans une certaine mesure contre l’accident vasculaire cérébral (AVC). La combinaison des deux est encore plus bénéfique.

Les femmes souffrant de migraine avec aura s’exposent à un risque relatif trois plus élevé de souffrir d’un accident cardiaque ou cérébral.

Faut-il ou non limiter sa consommation d’œufs en prévention des maladies cardiovasculaires ?

Le syndrome d’apnées du sommeil (SAS) cause des dommages importants aux artères, avec un risque cardiovasculaire majeur.

Les accidents vasculaires cérébraux (AVC) concernent une population de plus en plus jeune, constate cette étude américaine.

La ménopause précoce est associée à un risque notablement accru d’infarctus et d’accident vasculaire cérébral (AVC).