Des chercheurs britanniques ont identifié une variation génétique qui favorise le « binge drinking » chez les adolescents.

Le cerveau du jeune adolescent est en pleine maturation : quelques épisodes d’abus d’alcool pourraient suffire à déclencher un phénomène d’addiction.

Les jeunes filles qui connaissent une puberté précoce s’exposent à un risque sensiblement accru de développer un diabète plus tard dans l’existence.

On ne le dira jamais assez : passer du contact virtuel à la « vraie » rencontre expose les jeunes filles à des risques (très) sérieux.

Les jeunes obèses accusent un déficit important en testostérone, ce qui ne va pas sans risques pour le fonctionnement sexuel.

La pratique de la danse améliore les scores de santé physique et psychologique chez les adolescentes.

La vaccination contre le papillomavirus humain (HPV) n’induit pas davantage de comportements sexuels à risque chez les jeunes filles.

Le « binge drinking » - boire beaucoup d’alcool en peu de temps – induit une consommation de plus en plus importante les fois suivantes.

Les circonstances qui conduisent un jeune à commencer à fumer ne sont pas uniformes. Pourtant, les messages de prévention, eux, le sont.

Parmi les adolescents qui s’adonnent aux jeux vidéo, les jeunes filles sont bien plus nombreuses que les garçons à préférer les versions sportives.

Les adolescents qui se considèrent trop enrobés, malgré un poids parfaitement normal, risquent effectivement de se trouver en surpoids quelques années plus tard.

Environ un adolescent sur dix, âgé de plus de 16 ans, présente un taux de cholestérol trop élevé. Pourquoi et comment réagir ?

Le phénomène du binge drinking – boire beaucoup d’alcool en un court laps de temps – ne concerne pas que les jeunes. Et chez les plus âgés, ce comportement accentue les risques de démence sénile.

Les moins 18 ans doivent demander l'autorisation parentale (ou celle d'un tuteur légal) et être accompagnés d'un adulte s'ils veulent se faire poser un piercing ou un tatouage.

Aujourd’hui, l’attitude « cool » repose sur des critères bien différents de ceux qui prévalaient dans les années cinquante et soixante.

Aux Etats-Unis, une proportion significative de jeunes prennent des médicaments pour se rassurer sur leur érection.

Plus les premières règles surviennent tôt, plus le risque de développer un diabète à l’âge adulte est élevé.

La grande majorité des adolescents considèrent leurs parents comme des modèles, des références pour se construire.

La pratique d’une activité physique place le cerveau dans de meilleures dispositions pour entreprendre une tâche intellectuelle.

Qu'elles sont les conditions à remplir par les jeunes filles de moins de 16 ans pour se voir prescrire la pilule contraceptive ?

La liste des addictions s’allonge, puisqu’elle intègre à présent les réseaux sociaux, qui concurrencent l’alcool et le tabac !

L’écrasante majorité des jeunes ont conscience que le bruit peut être néfaste pour l’audition, mais cela ne change pas grand-chose à leur comportement.

Peut-on utiliser un tampon dès les premières règles ou vaut-il mieux opter pour des serviettes hygiéniques ? Les tampons favorisent-ils les infections et les irritations vaginales ? Conseils.

L’arrêt du tabac se traduit par une amélioration très nette et très rapide des capacités respiratoires chez le fumeur jeune.

Dans les mois qui ont suivi la fusillade au collège Dawson (Montréal), un nombre important d’étudiants sont devenus dépendants à l’alcool et à la drogue.

La moitié des adolescents fumeurs, même occasionnels, manifestent déjà une (forte) dépendance à la cigarette.

Une grande variété d’aliments aux couleurs différentes stimule l’attraction des enfants pour leur repas, et donc leur appétit.

La qualité de la relation entre la maman et le jeune enfant joue un rôle dans le risque d’obésité à l’adolescence.

Selon une étude américaine, très peu d’adolescents (1% environ) ont déjà pratiqué le « sexting » ; c’est-à-dire le fait d’envoyer des photos érotiques d’eux-mêmes par GSM ou par ordinateur.

Les garçons – et les hommes, par la suite – ne voient pas l’utilité de parler de leurs problèmes. Ils considèrent, en fait, qu’il s’agit d’une perte de temps.