Certains encaissent mieux les coups durs de l’existence que d’autres. Mais jusqu’à quel point ?

Certains sons, certaines pauses, certains soupirs du bébé ne semblent avoir aucune signification. Pourtant, cela lui permet de construire des phrases.

Durant les mois et les années qui suivent un traitement contre le cancer, le patient en rémission ou guéri présente des niveaux d’anxiété très élevés. Le partenaire aussi.

Les activités bénévoles aident ceux qui en bénéficient, mais aussi ceux qui les pratiquent. Il en va ainsi de leur pression artérielle.

Une phéromone sécrétée dans la sueur masculine pourrait jouer un rôle dans « l’esprit d’équipe » et inciter les sportifs à coopérer plus intensément.

Les conflits au sein de la fratrie sont trop souvent considérés comme un phénomène « normal ». Or, ils ne sont pas sans conséquences pour les enfants.

L’aménagement des bureaux en open space (plateau ouvert) est très largement répandu. Mais cette configuration ne présente pas que des avantages.

Une étonnante expérience montre que nous ressentons des sentiments à l’égard des robots.

Le constat est vraiment étonnant : les médecins généralistes se montrent moins chaleureux envers leurs patients en excès de poids.

La qualité des interactions sociales joue un rôle important dans le risque de dépression, sachant que la relation de couple tient une place particulière.

L’éducation de l’enfant doit concilier chaleur affective et discipline. Un déséquilibre risque de s’accompagner de troubles du comportement.

Les hommes et les femmes ont tendance à mentir sur certains aspects de leur sexualité, afin de se conformer aux stéréotypes.

Joie, moquerie, chatouilles… : selon les circonstances, le rire n’a pas la même fonction et le processus sollicite des régions cérébrales différentes.

La multiplication d’événements stressants chez la femme enceinte expose à des risques importants de mortinatalité.

Les résultats de cette expérience sont vraiment très étonnants : la pratique de la méditation rend plus humain, plus compassionnel, plus sensible.

Pour qu’une relation tienne sur la durée, les partenaires doivent consentir des sacrifices. Mais en situation de stress, le risque de dégradation est bien réel.

La maltraitance psychologique pendant la grossesse et après l’accouchement n’est pas rare. Il est important de détecter et d’accompagner les mères exposées.

L’invitation à un repas représente l’un des cadeaux qui suscitent le plus fort impact.

Vivre avec chien exerce un effet protecteur majeur contre la maladie cardiaque. Les aspects physiques jouent un rôle important, tout comme la composante psychologique.

Pendant leur pic de fertilité, les femmes sont plus sensibles aux odeurs des hommes affichant les taux les plus élevés de testostérone.

Dans des circonstances données et pour certains profils psychologiques, la vulnérabilité à la dépression peut passer de proche en proche.

Dans une situation délicate, les explications fournies par le médecin doivent tenir compte des réactions inconscientes du patient.

Les déterminants génétiques jouent un rôle important dans le risque de victimisation d’un enfant à l’école.

Les jeunes mariés heureux ont tendance à prendre plus de poids que ceux qui le ne sont pas, ou qui le sont moins.

Le sentiment de bien-être est associé à la fréquence des relations sexuelles. Bémol : ceci est beaucoup moins vrai lorsqu'on pense que les autres font mieux.

Les bébés développent une perception précoce des alliances sociales. Leur préférence va vers ceux qui leur ressemblent.

Les crises de larmes du nourrisson peuvent considérablement perturber le sommeil des parents, au point de déclencher une crise majeure au sein du couple.

L’isolement social augmente sensiblement le risque de décès prématuré toutes causes confondues.

A comportement comparable, les parents homosexuels sont victimes de stigmatisation liée à des préjugés tenaces.

Les enfants victimes de harcèlement scolaire accusent des modifications génétiques qui les exposent à des problèmes psychologiques à l’âge adulte.