Au fil de l’évolution, les relations sociales sont devenues un besoin humain fondamental, au même titre que l’eau, la nourriture ou un abri. Notre époque renforce encore cette addiction.
Une équipe américaine établit un lien entre certaines caractéristiques génétiques et la manière dont nous réagissons émotionnellement dans la relation de couple.
Même s’ils ne le reconnaissent pas ouvertement, les hommes ont tendance à vivre assez difficilement le succès de leur partenaire : leur estime est ébranlée.
L’odeur d’un nouveau-né déclenche une réaction très particulière dans les circuits cérébraux des mamans, un processus associé à la récompense et au plaisir.
Voilà un très surprenant constat : plus un enfant a de frères et sœurs, mieux il est préparé à la vie de couple et moins il risquera d’être confronté à un divorce.
La plupart des études sur les racines de l’addiction à l’alcool s’intéressent aux comportements à l’adolescence. Ces recherches-ci remontent bien plus loin.
Les conventions ont la vie dure : malgré l’évolution des mentalités, il est « naturel » et « attendu » que l’homme paie l’addition lors des premiers rendez-vous. Après, c’est différent.
Les partenaires qui doivent vivre à une longue distance l’un de l’autre ne manquent pas de communiquer, et leur relation présente des caractéristiques très intéressantes.
Souvent, les termes qui qualifient l’état d’ébriété d’un homme ou d’une femme ne sont pas du tout les mêmes. Dans quelle mesure les mots ont-ils leur importance ?