La consommation d’insectes connaît un certain engouement (encore très modeste…) dans les régions du monde où on découvre cette source alimentaire. Mais attention…
Pour les femmes enceintes, qui doivent évidemment profiter comme tout le monde des plaisirs des repas de fête, certaines précautions spécifiques sont cependant nécessaires afin d'éviter des (sérieux) désagréments.
Après la rentrée scolaire et en raison de la multiplication des contacts rapprochés entre les enfants, on enregistre une recrudescence des cas d'infestation par les poux.
Minuscules bestioles, mais grands effets : les puces sont non seulement particulièrement désagréables pour nos compagnons, mais risquent aussi de provoquer des affections sérieuses.
Les moustiques femelles (ce sont elles qui piquent) sont attirés par l’odeur. Les bactéries de la peau jouent un rôle crucial, et leur nature explique la raison pour laquelle certains sont des « victimes » désignées.
Pour lutter contre la transmission du paludisme, des chercheurs explorent la piste de la stérilisation massive des anophèles mâles, afin de réduire les populations de moustiques vecteurs de la maladie.
Des chercheurs américains affirment avoir mis au point un insectifuge « mille fois plus puissant » que le DEET, le produit classiquement contenu dans la plupart des répulsifs anti-moustiques.
Une équipe de chercheurs de l’Institut Pasteur (Paris) vient d’identifier une nouvelle sous-espèce de moustique particulièrement à risque de transmission du paludisme.
Hantise des parents d’enfants scolarisés, les poux sont coriaces. Mais ils n’auront pas le dessus ! L’Académie américaine de pédiatrie vient de formuler de nouvelles recommandations pour combattre efficacement la pédiculose. Voici les messages clés.
Oubliez le grand requin blanc, le tigre du Bengale ou le cobra royal : l’animal le plus dangereux pour l’homme, c’est le moustique ! Et singulièrement les femelles, vecteurs de maladies mortelles pour notre espèce.