Vers la vingtaine, les jeunes de certains pays mesurent en moyenne 20 cm de moins que ceux d'autres pays. Ce constat met en lumière le fossé qui existe en matière d’alimentation et de cadre de vie. Le retard de croissance est lié à un développement perturbé, avec des effets néfastes sur le bien-être tout au long de l'existence.

Diverses études ont montré que les personnes de grande taille (hommes et femmes) présentaient un risque plus élevé de cancer. Cette association a été établie pour au moins six types de cancer. Comment expliquer cela ?

On sait que le paramètre génétique joue un rôle déterminant dans la taille d’un individu : on découvre que certains gènes ont une influence considérable, insoupçonnée jusqu'ici.

On estime qu’un enfant sur cinq ressent des douleurs aux jambes le soir ou durant la nuit et cela sans raison particulière. On les appelle douleurs de croissance, bien que l’appellation ne soit pas correcte : la douleur apparaît bien durant des périodes de croissance rapide de l’enfant mais n’a que peu de rapport avec celle-ci.

Plus petit ou plus grand que la moyenne : le bien-être ne s’en ressent pas, en tout cas chez l’adolescent.

Une étude américaine a examiné de près le lien entre la croissance jour après jour du bébé et le rythme de son sommeil. Conclusion : l’un et l’autre sont inextricablement liés.

La croissance d'un enfant et la taille qu'il affichera à l'âge adulte dépendent de nombreux facteurs. Néanmoins, vous pouvez déjà avoir une petite idée...

Un retard de croissance intra-utérin en fin de grossesse pose toujours la question de savoir s’il convient de déclencher l’accouchement, ou d’attendre la naissance spontanée.

L’administration d’hormones de croissance synthétique, pour des raisons médicales, s’accompagnerait d’un risque accru de mortalité.