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Les vaccins sur le banc des accusés
dossier
Il y a des choses qui sont indiscutables. Par exemple le fait que la vaccination des enfants constitue un projet de santé publique et que s’y soustraire pourrait entraîner le retour de maladies mortelles. Vacciner son enfant, c’est le protéger, lui, mais aussi les autres, de ce risque. C’est en quelque sorte un acte de civisme.
Les autorités sanitaires l’ont assez répété : grâce à la vaccination, mais aussi à la découverte de la pénicilline, l’espérance de vie a, en un siècle, augmenté de 30 ans ! Pour la grande majorité du corps médical, les bénéfices de la vaccination sont donc infiniment plus importants que les effets secondaires auxquels ils peuvent conduire : selon l’Organisation mondiale de la santé, 2 à 3 millions de décès sont ainsi évités chaque année dans le monde, même s’il reste des régions où la couverture vaccinale est encore insuffisante.
Pour toutes ces raisons, lorsque des voix s’élèvent pour mettre en doute l’innocuité des vaccins, les responsables des programmes santé s’alarment. On les comprend, certes, mais serait-ce une raison pour refuser d’entendre ceux qui, en se basant sur leur expertise médicale, leur expérience et surtout l’écoute des parents, considèrent aujourd’hui que tous les vaccins ne conviennent pas à tout le monde ? Ils sont médecins généralistes, professeurs de médecine ou spécialistes et demandent simplement que le calendrier des vaccinations soit repensé, la composition des vaccins réétudiée, de même que leur mode d’administration…
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