Une vaste étude confirme la relation positive et significative entre la pratique d’une activité physique et les performances scolaires.

Le déclin de nos facultés débute bien plus tôt que ce qu’on pensait jusqu’à présent : à partir de 45 ans, ça commence à se compliquer…

Une étude canadienne confirme que la fréquentation d’une école située près d’un axe routier important nuit à la santé et aux capacités d’apprentissage des enfants.

Même lorsqu’ils se manifestent très discrètement, les accidents vasculaires cérébraux (AVC) affectent les facultés intellectuelles.

Durant la période où ils doivent mémoriser les trajets, le volume d’une certaine zone de leur cerveau augmente.

Le patch à la nicotine semble utile aux personnes présentant un léger déclin des fonctions cognitives (mémoire, attention, réaction…).

Une expérience amusante montre que les hommes réussissent moins bien un test lorsqu’ils se retrouvent face à une… examinatrice.

Les personnalités créatives sont les plus susceptibles de tricher, nous apprend une étonnante étude réalisée aux Etats-Unis.

Pour que nous puissions efficacement porter notre attention sur ce qui nous entoure, notre cerveau « éteint » certains de ses réseaux… puis les rallume instantanément.

Nous avons tous connu cela : passer d’une pièce à une autre en franchissant une porte, et… oublier ce que nous avions à faire. Le trou de mémoire. Normal, affirme cette étude américaine.

Les enfants avec un quotient intellectuel (QI) supérieur s’exposent à une probabilité nettement accrue de consommer, plus tard, des drogues illicites.

Les jeunes assidus aux jeux vidéo présentent une partie du cerveau plus développée, avec, comme effet, une capacité de prise de décision plus rapide.

Lorsque qu’une récompense financière est en jeu, nous apprenons plus vite, et mieux !

Une étude britannique montre que le quotient intellectuel (QI) peut sensiblement évoluer durant l’adolescence.

Les femmes sous contraception orale auraient tendance à se souvenir de l’impact émotionnel d’un événement, plutôt que de ses détails.

Une étude britannique met en évidence l’effet délétère du tabagisme sur les fonctions cognitives, et en particulier la mémoire. Arrêter de fumer permet de redresser la barre !

Les troubles de l’attention pénalisent bien davantage les résultats scolaires que l’hyperactivité. Mais ils suscitent moins… l’attention des enseignants.

Des psychologues affirment que les dessins animés trop rythmés affectent les capacités d’attention et de concentration des jeunes téléspectateurs.

La voix de l’homme détermine le souvenir que gardera la femme de leur rencontre, affirme une étude britannique.

La configuration « open space », aujourd’hui largement adoptée sur les lieux de travail, affecte le bien-être et la productivité des travailleurs.

Les personnes âgées connaîtraient davantage de difficultés d’apprentissage et de mémorisation car leur cerveau tendrait à s’encombrer d’informations non pertinentes.

L’allaitement maternel s’avère non seulement bénéfique pour la santé du bébé, mais aussi, plus tard, pour les résultats scolaires de l'enfant.

Une alimentation saine est liée à un QI (quotient intellectuel) plus élevé, révèle une étude britannique réalisée auprès d’un panel de quelque 7.000 enfants.

L’éthanol agirait sur une zone du cerveau dédiée à l’apprentissage et à la mémorisation, et inciterait à consommer davantage d’alcool.

La manière dont nous mémorisons les informations a sensiblement évolué depuis l’apparition, et la généralisation, d’Internet. En fait, le cerveau « stocke » moins d’informations, mais sait mieux comment les retrouver.

Une étude américaine montre que la consommation excessive d’alcool durant l’adolescence affecte le développement du cerveau, singulièrement chez les jeunes filles.

Enchaîner les cuites, un comportement partagé par une proportion non négligeable d’étudiants, affecte les capacités d’apprentissage.

La pratique d’un instrument de musique dès le plus jeune âge aide à prévenir le déclin de l’audition et de la mémoire auditive jusque très tard dans l’existence.

Les amateurs de loisirs culturels se déclarent globalement en bien meilleure santé que ceux qui ne s’y adonnent pas.

Les patients souffrant de migraines et de céphalées, même importantes et fréquentes, n’ont pas à craindre pour leurs capacités intellectuelles.