Le frottis périodique est un examen extrêmement important pour dépister le cancer du col de l’utérus à un stade précoce. Pourtant, de nombreuses femmes ne s’y soumettent pas : pour quelles raisons ?

Après le tabagisme, le surpoids et l’obésité constituent la deuxième cause de cancer sur laquelle il est possible d’agir en prévention. Mais encore faut-il être conscient du risque.

Le dépistage du cancer colorectal devrait-il démarrer plus tôt, c’est-à-dire dès 45 ans plutôt qu’à partir de 50 ans comme c’est le cas actuellement ? En tout cas, cela devrait être envisagé.

Le stérilet, ou dispositif intra-utérin (DIU), exercerait un effet protecteur contre le risque de développer un cancer du col de l’utérus. Une piste prometteuse, mais qui doit être vérifiée.

En cas de cancer la prostate à faible risque, plusieurs options de traitement sont envisageables : chirurgie, radiothérapie ou surveillance active. Les effets sur la fonction érectile sont très différents.

Le vaccin est la seule arme réellement efficace pour se protéger contre les types de HPV les plus courants et les plus dangereux, responsables de la plupart des cas de cancer du col de l’utérus et d’une partie des autres cancers anogénitaux, de cancers de la bouche et de la gorge. Que faut-il savoir sur cette vaccination ?

Une étude mondiale sur le cancer entre l’âge de 20 et 40 ans montre que les femmes sont bien plus touchées que les hommes, en raison surtout du cancer du sein et celui du col de l’utérus.

Il existe plus de 100 types de papillomavirus humain (HPV). Certains sont très dangereux, puisqu'ils sont clairement identifiés comme un facteur de risque majeur de cancer du col de l'utérus. Quelles sont les voies de transmission du virus ?

Beaucoup de femmes pensent qu’après 50 ans, elles ne courent plus de risque de cancer du col de l’utérus et ne doivent donc plus se soumettre à un frottis périodique. C’est une erreur.

La pratique du yoga améliore la qualité de vie des patients souffrant d’un cancer de la prostate, et en particulier ceux traités par radiothérapie. Les fonctions sexuelles et urinaires sont mieux préservées.

Le virus Zika pourrait-il être utilisé pour détruire les cellules cancéreuses chez les patients atteints d’un glioblastome, une tumeur du cerveau particulièrement agressive ?

L’ablation de la prostate (prostatectomie) constitue un recours majeur en cas de cancer. Les conséquences pour la fonction urinaire et érectile peuvent être sévères, avec un impact psychologique très important.

Une grande variété de compléments alimentaires sont disponibles sous diverses formes, et on leur prête bien des vertus. Qu'en est-il en ce qui concerne le cancer, dont plusieurs types sont associés à l'alimentation, en raison de carences ou d'excès ?

Céréales, viande, fruits et légumes, « super aliments », alcool, sel, suppléments... L'alimentation joue un rôle fondamental dans notre état de santé, et notamment dans le risque de développer un cancer : voici dix recommandations nutritionnelles afin de mettre tous les atouts de son côté.

De nombreuses études ont montré qu’il existe un lien entre notre alimentation et certains types de cancer, comme ceux du côlon, du sein, de l’oesophage, de la prostate et de l’estomac. Cependant, cette association est très complexe. Que sait-on exactement ?

L’ablation de la prostate (prostatectomie radicale) entraîne souvent des problèmes urinaires (incontinence) et sexuels (impuissance). Mais la situation peut évoluer favorablement avec le temps.

Diverses études ont montré que les personnes de grande taille (hommes et femmes) présentaient un risque plus élevé de cancer. Cette association a été établie pour au moins six types de cancer. Comment expliquer cela ?

Pour réduire le risque de développement de polypes intestinaux, précurseurs du cancer colorectal, le régime alimentaire joue un rôle clé : la prévention repose sur trois piliers.

Lors d’un diagnostic de cancer du sein, la présence de la famille et des amis revêt une grande importance, à la fois psychologique et en termes de soutien à la réflexion.

La consommation de pruneaux agit favorablement contre le cancer colorectal. Mais comment expliquer ce bienfait préventif ?

Des nuits de sommeil beaucoup trop courtes sont associées à une nette augmentation du risque de développer un cancer de la prostate. Notamment ?

La vasectomie est une méthode de stérilisation masculine à laquelle recourt une proportion croissante d’hommes. Augmente-t-elle le risque de cancer de la prostate ?

Voici dix questions - réponses sur le cancer du col de l'utérus. Causes, frottis, vaccination, papillomavirus, traitement... : testez vos connaissances pour une meilleure prévention et une réaction adéquate si nécessaire.

Le café à l’italienne, l’expresso ou « espresso », pourrait réduire… de moitié le risque de souffrir d’un cancer de la prostate : trois tasses par jour, c’est un bon rythme.

Le fait d’effectuer tout ou partie du trajet domicile - travail à pied ou à vélo agit de manière très bénéfique sur la santé en termes de prévention du risque de maladie cardiovasculaire et de cancer.

Les prédispositions génétiques influencent le risque de cancer colorectal, mais agir sur le style de vie intervient de manière déterminante.

Dans le cas d’un cancer de la prostate localisé, la surveillance active confirme son intérêt par rapport aux traitements comme la prostatectomie ou la radiothérapie.