Une densité mammaire élevée peut être constatée lors d'une mammographie. Dans quelle mesure cette situation complique-t-elle la détection d'une tumeur ?
Même s’ils sont considérablement moins exposés que les femmes, le cancer du sein peut aussi affecter les hommes. Un indicateur du risque : le taux d’œstrogènes à l’âge de 50 ans.
Les antécédents familiaux de cancer de la prostate exposent la femme à un risque accru de cancer du sein : pour celles qui sont concernées, la surveillance devrait être encore plus étroite.
Pendant longtemps, la consommation de soja a été déconseillée aux femmes qui avaient souffert d'un cancer du sein. Mais plusieurs études scientifiques récentes ont modifié la donne.
Pour réduire le risque de développer un cancer du sein, les femmes ont tout intérêt à bien choisir leurs sources de protéines, en veillant à limiter la consommation de viande rouge.
Des chercheurs américains ont mis en évidence une association entre la consommation d’alcool avant la première grossesse et le risque de développer un cancer du sein.
Il est recommandé aux femmes qui envisagent une grossesse de prendre une supplémentation en acide folique (vitamine B9) afin de prévenir des malformations du tube neural chez le bébé, et en particulier le spina bifida.
Les conjoints de patientes souffrant d’un cancer du sein s’exposent à des niveaux de stress extrêmement élevés, avec un éventail de symptômes physiques.
On conseille aux femmes qui souhaitent tomber enceinte de prendre de l'acide folique en supplément. Pourquoi ? Afin d'éviter des malformations du tube neural chez le foetus.
Des chercheurs australiens ont réussi, grâce à des protéines extraites du venin d’araignée, à stopper la croissance de cellules cancéreuses humaines… injectées à des souris.
Le tabagisme après la ménopause accroît les niveaux d’hormones sexuelles, dont des taux élevés constituent un facteur de risque de cancer du sein et de l’endomètre, ainsi que de diabète de type 2.
C'est à l'Institut Bordet qu'a été créée, il y a 25 ans, la première clinique du sein de Belgique. Son objectif est de mettre à disposition des malades une structure multidisciplinaire pour les prendre en charge de façon totalement intégrée.
Les femmes qui consomment cinq tasses, ou davantage, de café par jour s’exposent à un risque moindre de souffrir d’un certain type de cancer du sein, par rapport à celles qui en boivent rarement.