Les causes du priapisme sont assez mal connues. Une équipe américaine a cherché à mieux cerner les facteurs qui exposent à cette situation très désagréable.

Associée aux traitements classiques, l’acupuncture pourrait aider une partie des patients à surmonter leur dépression.

La pratique d’une activité physique contribue à l’amélioration des symptômes dépressifs et les effets positifs sont assez rapides.

La dépression post-partum est un phénomène bien connu. Les réactions anxieuses le sont moins, alors qu’elles concernent beaucoup plus de mères.

La consommation de sodas est associée à un risque accru de souffrir d’une dépression, alors que c’est le contraire pour le café.

La libération d’ocytocine lors de l’orgasme féminin présenterait d’intéressantes propriétés contre la dépression.

La pratique du yoga pendant la grossesse agit favorablement sur le stress, l’anxiété et la dépression.

Pour qu’un patient adhère au mieux à son traitement antidépresseur, une personnalisation précoce est un atout majeur.

La prise d’antidépresseurs est associée à un risque accru d’accident de la route. Il est indispensable de redoubler de vigilance.

Permettre aux médicaments de pénétrer plus efficacement dans le cerveau : c’est le potentiel que recèleraient certaines espèces de jonquilles.

La marche agit de manière bénéfique sur les manifestations de la dépression, quelle que soit la manière dont on la pratique.

Les médecins hésitent lourdement à prescrire des antidépresseurs durant la grossesse. Ce principe de précaution fait-il plus de tort que de bien ?

Les patients souffrant d’une maladie cardiaque (cardiopathie) sont moins exposés au risque de dépression lorsqu’ils sont traités par statines.

Face aux dépressions qui ne répondent pas aux médicaments, la stimulation magnétique transcrânienne s’inscrit comme une alternative.

Si l’utilité thérapeutique des antidépresseurs ne fait aucun doute dans la grande majorité des cas, ces médicaments compliquent néanmoins la situation pour une partie des patients.

Plus un patient consomme de médicaments, plus il risque d’être sujet à des troubles de la fonction érectile.

La consommation d’anti-inflammatoires peut réduire sensiblement l’efficacité des antidépresseurs, affirme une étude américaine, qui invite les médecins à bien évaluer la situation.

Une écrasante majorité des patients dépressifs présentent des symptômes résiduels plusieurs années après le début du traitement par antidépresseurs.

Si l’efficacité des antidépresseurs n’est plus à démontrer, leur mécanisme d’action reste relativement méconnu. Une équipe française vient de faire une découverte étonnante : ils font pousser certaines cellules du cerveau !

En cas de dépression résistante aux traitements, on peut envisager de recourir à une technique reposant sur des impulsions magnétiques délivrées à travers le crâne.

L’administration d’un antidépresseur (l’escitalopram) chez les femmes ménopausées souffrant de bouffées de chaleur atténuerait ces troubles.

Des traces d’antidépresseurs ont été retrouvées dans l'organisme des poissons vivant dans le fleuve Saint-Laurent, qui borde la ville de Montréal.

L’intérêt des médicaments (antidépresseurs) dans la prise en charge des dépressions sévères est évident. Par contre, leur place dans la dépression mineure – la déprime – reste très controversée.

Beaucoup de patients victimes d’une dépression souffrent de récidives. Des chercheurs du Centre de toxicomanie et de santé mentale de Toronto (Canada) montrent que la méditation de pleine conscience est aussi efficace que les antidépresseurs pour prévenir ces rechutes.