Le Conseil Supérieur de la Santé recommande la vaccination antigrippale chez la femme enceinte pour autant que cette dernière en soit au 2e ou 3e trimestre de sa grossesse.
Le syndrome d’apnées du sommeil affecte, dans une large majorité, des personnes en surpoids. Pour elles, maigrir est utile et nécessaire, avec un effet positif sur le long terme.
Une vaste étude montre que les appareils électroménagers, et en particulier le lave-vaisselle, abritent de plus en plus de champignons potentiellement très toxiques.
Les femmes enceintes avec un asthme mal contrôlé s’exposent à un risque (notablement) accru d’accouchement prématuré. Un traitement adapté atténue considérablement la menace.
Le Service d'analyse des milieux intérieurs (Sami) met en garde contre les troubles de santé qui peuvent directement être provoqués par des problèmes affectant une habitation.
Non seulement ils détestent les odeurs de cuisine, mais en plus le perroquet et la perruche peuvent transmettre la psittacose, une infection bactérienne.
Une étude internationale confirme que les enfants vivant en milieu rural ou semi-rural courent moins de risques de développer un asthme que ceux qui habitent en ville. Explication.
Une expérience réalisée en France montre que les enfants promenés en poussette sont confrontés à des taux de particules polluantes jusqu’à six fois plus élevés que les limites recommandées.
Les résultats d’une étude conduite en Finlande recommandent un traitement avec du miel enrichi en pollen (en l’occurrence de bouleau) aux patients allergiques.
Une carence en vitamine D à la naissance s’accompagne d’un risque accru d’infections respiratoires – en particulier la bronchiolite - au cours de la petite enfance.
Il paraît assez évident que la probabilité que la fumée de cigarette cause des dommages sérieux à l’organisme est nettement plus élevée pour un gros fumeur que pour le non fumeur qui se retrouve, à l’occasion, dans un environnement enfumé.
La pratique régulière d’une activité physique réduirait de moitié la fréquence des rhumes et la sévérité des symptômes, selon les conclusions d’une étude américaine.
Après tout le battage médiatique fait en 2009 concernant la grippe mexicaine ou grippe A (H1N1), on attend cet hiver une offensive de grippe hivernale tout à fait classique.
Un nombre significatif de cas de maladie et de décès lors d'une épidémie de grippe est la conséquence d'une surinfection bactérienne, souvent provoquée par des pneumocoques.
Une étude réalisée à l’Université de Montréal, et publiée par la Revue canadienne de pneumologie, suggère que le recours aux thérapies alternatives pour traiter l’asthme des enfants s’accompagne d’un taux deux fois plus élevé de mauvais contrôle de la maladie.
Les antibiotiques n’aident pas pour toutes les pathologies. Ils sont efficaces en présence d’infections bactériennes comme par exemple une pneumonie, une méningite bactérienne, certaines inflammations bactériennes de la gorge ou des oreilles.
Une question taraude les spécialistes de la grippe : pourquoi le A/H1N1 a-t-il surtout fait des victimes parmi les jeunes adultes, alors qu’habituellement, les virus grippaux engendrent des conséquences chez les personnes âgées ?
Ca y est, les refroidissements, rhumes, éternuements, toux,…pullulent. C’est le grand retour saisonnier des ‘cough & cold’ ou affections hivernales qui, pour rappel, se propagent à la vitesse V.